Une fois n'est pas coutume, aujourd'hui nous vous parlons d'un roman autoédité d'un auteur inconnu au bataillon. Et pour cause : premier roman ET autoédité.
Pourquoi cette "faveur" ? Tout simplement parce que son mail d'accroche nous a interpellé, que le pitch est prometteur, mais que nos PAL respectives nous interdisent de nous engager plus avant.
Or donc, cet Automne des Dieux est le premier d'une trilogie : Les chroniques d'Ilia. Un bon gros bébé de plus de 500 pages dont voici la couverture.
Quentin Jouaville cherche quelques lecteurs potentiels, donc si l'aventure vous tente contactez nous, par un commentaire ici , ou un mail, ou un mp, ou un hibou, bref comme vous voulez !
Année 1049 de la Révélation, dans les Provinces de l'Aube. De sombres événements touchent le royaume d'Ilia. Mauvaises récoltes, attaques de pillards, épidémies... Les habitants n'ont qu'une crainte. N'est-il pas venu le temps d'Alaedrel ? N'est-il pas venu le temps où El et Ea, les dieux créateurs, déverseront sur les hommes qui ont perdu la foi les fruits de leur colère ?
À Meirihm, grande ville marchande du Sud, la vie d'Elhan est bouleversée. Sa mère, tombée malade d'une forte fièvre, se sait condamnée. Du fait de l'insécurité sur les chemins, les caravanes sont de moins en moins nombreuses à prendre la route et les plantes nécessaires à sa guérison, originaires d'une région éloignée du Nord, n'arrivent plus. L'adolescent n'a plus le choix. Accompagné de ses deux amis, Jad et Loren, il s'embarque dans un périlleux voyage afin d'aller s'en procurer par ses propres moyens. Mais on ne défie pas impunément les Dieux.
La carte de cet univers :
L'auteur :
Quentin Jouaville est né à Nancy en 1986. Passionné par l'Histoire et les mondes de l'imaginaire, il décide très tôt d'y consacrer ses études. Après un doctorat en histoire médiévale consacré à un italien, Mercurino Gattinara (1465-1530), il devient enseignant, métier qu'il exerce aujourd'hui dans un lycée français en Bulgarie. L'automne des Dieux est son premier roman.
Voilà, vous savez tout ou presque : l'auteur décrit son roman comme de la fantasy sombre et médiévale, destinée à un public adulte. Peu de magie, pas de dragon, pas de nain, pas d'elfe, juste des êtres humains livrés à eux-mêmes dans un royaume dévasté par la crainte d'un châtiment divin.
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