Pour retrouver le tome 1 c'est par ICI
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Ramettes :
Je me régale avec "D'hiver et d'ombres". On se tutoie ? Ma question comment choisis-tu tes couvertures ? Lorsqu'il y plusieurs couvertures cela correspond à différents tirages je suppose. Entre chaque tirage y-a t'il d'autres évolutions dans texte ? Pour "Le Phare au Corbeau" entre Critic et Folio y a-t-il eu des changements de texte ? Pour les bibliophiles c'est terrible toutes ces différentes couvertures ! À bientôt.
Oui, on se tutoie, c’est plus sympa ! Je suis ravie pour D’Hiver et d’ombres ❤
En fait il y a des couvertures différentes parce que j’ai procédé à une réédition de tous mes livres. Certains sont sortis il y a pas mal d’années, et donc, pour l’occasion, j’ai refait les couvertures pour qu’elles correspondent un peu plus au marché (celui des livres d’urban fantasy auto-édités). Comme mes livres sont imprimés à la demande, il n’y a pas de véritable retirage, mais on peut envisager le truc comme ça :)
Il n’y a pas de changement dans le texte, par contre, à part une nouvelle passe de corrections : je relis tout, traque les coquilles récalcitrantes, reformule parfois des phrases qui me paraissent bancales, mais c’est tout, le fond ne change pas. Pour le passage du Phare au Corbeau chez FolioSF, il n’y a pas eu de changement non plus !
Et alors je comprends tout à fait, puisque je suis atteinte de collectionnite aiguë : quand j’aime vraiment un livre, il me le faut avec toutes ses différentes couvertures ! (je possède 20 éditions différentes de mon livre préféré, et 24 pour mon deuxième livre préféré)
Danilomzb :
Hello Rozenn, merciiiiii à toi de faire ce Mois de et aux deux copines de Book en Stock pour permettre tout cela. Je suis comme Vanessa, 3 livres 3 coups de cœurs, je ne sais pas comment tu fais mais tu m'embarques à chaque fois. Je commence par une petite question : hasard ou pas le numéro de la dernière page de la version papier de Tueurs d'anges ? Parce que ça tombe plutôt bien 😂 Ensuite l'idée de faire une apocalypse en 2 temps ? Pur sadisme ou juste pour l'étude sociologique ? Merci à toi
Hello hello ! Merci beaucoup à toi, je suis très contente que tu aies aimé ces trois livres ❤
Je viens de regarder dans mon exemplaire de Tueurs d’anges pour voir de quoi tu parlais, et non, ce n’est pas du tout fait exprès ! 🙈 (pour les curieux, la dernière page c’est la 666)
Pour l’apocalypse en deux temps, tu veux dire d’abord le Cataclysme qui détruit tout, et ensuite les 600 jours avant la fin totale ? On pourrait imaginer une forme de sadisme, en effet 😁 Il y a une vraie explication à ça, qui viendra dans le tome 3, donc pour le moment c’est motus et bouche cousue. Quant à pourquoi j’ai fait ce choix, j’avais envie de raconter une histoire dans un monde détruit ET en même temps d’avoir un compte à rebours bien stressant, donc ça s’est boutiqué comme ça. Par contre 600 jours c’est siiiii long à gérer, je ne sais pas comment j’ai pu me dire que c’était une bonne idée 😅
Fantasy à la carte :
Bonjour Rozenn, Comment vas-tu ? Je vois que tes récits gravitent autour d'un seul et même univers, que tu appelles "Le Grand Projet", peux-tu nous en dire plus sur celui-ci ? Comment t'es venu cette idée ? Est-ce difficile de suivre un fil directeur ? Merci par avance pour tes réponses.
Bonjour ! Ça va très bien, j’espère que toi aussi :)
Alors le Grand Projet (le GP pour les intimes) est bel et bien un seul et même univers (et même un multivers). Toutes mes histoires se passent dans ce même multivers et, plus encore, elles forment les chapitres d’une même longue histoire. Ces chapitres restent indépendants les uns des autres, et on peut lire dans l’ordre que l’on veut ! On peut tout à fait ne jamais s’intéresser au GP et lire seulement quelques romans, ou un seul. Mais les lecteurices acharnés qui lisent tout vous diront que c’est dommage, puisque commencer le GP c’est comme se lancer dans un jeu de piste : on récolte des indices, on imagine des liens, des théories… et c’est aussi rester en compagnie de personnages attachants qui reviennent d’un livre à l’autre.
Faire un pitch du GP est plutôt compliqué, parce qu’il y a plusieurs portes d’entrée avec des sujets très divers (les sorciers, les marcheurs de rêves, les vampires…). Disons qu’il s’agit de raconter les tribulations d’un créateur aux prises avec sa création. Comme dans la vraie vie, finalement 😊
J’ai su très tôt que mes histoires étaient liées entre elles, en particulier celles qui tournaient autour du Prunellier, entité mystérieuse qui rêve des milliards de mondes et que l’on voyait dans mon premier recueil Le Rêve du Prunellier. En gros, tout ce qui ressemblait de près ou de loin à de la fantasy en faisait partie. Seul notre monde restait en dehors. Et ça m’embêtait beaucoup.
Et puis un jour, en 2015, j’ai eu une de ces idées de génie qui déboulent de nulle part et qui foudroient l’auteur en mode “euréka !”, et les deux puzzles se sont parfaitement emboités. Depuis, j’appelle cette idée “la graine”, et c’est d’ailleurs à ce moment-là que j’ai décidé de refondre Le Rêve du Prunellier, qui deviendrait ensuite D’Hiver et d’ombres (que tu as lu). D’Hiver et d’ombres raconte les origines du GP, c’est sa cosmogonie en quelque sorte.
Enfin, pour répondre à ta dernière question, suivre le fil conducteur du GP n’est pas très difficile. J’aime énormément cet univers, je le travaille depuis longtemps, je sais exactement où je vais et comment ça finira, ce qu’il y aura après, et c’est un plaisir d’ajouter des pierres à cet édifice. Il y a bien sûr pas mal de contraintes, ne serait-ce que dans le worldbuilding : il faut respecter les règles de cette histoire, ses nombreux systèmes de magie, sa chronologie, ses interdits, et il arrive que des incohérences m’échappent, ou que des éléments ne s’imbriquent pas comme je le voulais. Mais les contraintes sont des sources de créativité, et c’est là-dedans que je m’épanouis le plus, donc en fin de compte il n’y a que du fun et du positif.
Merci à toi !
Snow :
Merci pour les réponses que tu as déjà données et les questions des copinautes sont super intéressantes !
J'aurais une seconde question. Quel(s) personnage(s) est/sont le(s) plus difficile(s) à écrire ? Et pourquoi ? Parce que c'est qqch d'éloigner de ce que tu connais ou parce qu'ils n'en font qu'à leur tête ;)
Merci pour cette nouvelle question pas si évidente !
Je trouve les personnages jeunes plus difficiles à écrire que les autres. Là par exemple je me débats avec une choupinette de 15 ans qui s’appelle Cesca (dans le tome 3 du Temps des cendres), surtout que j’avais déjà du mal avec elle à l’époque où j’écrivais la toute première version de ce roman il y a quelques années. C’est de plus en plus difficile d’envisager les préoccupations d’une ado lorsque nos propres 40 balais approchent à grands pas — pas infaisable, mais difficile. Même chose quand j’ai écrit Érèbe puisque les deux protagonistes, Lisbeth et Elliot, sont jeunes eux aussi.
Parfois, il y a des personnages que j’ai du mal à cerner sans que je sache trop pourquoi, comme Jéromine Sinteval (dans Sinteval, donc). Une vampire âgée de 400 ans et des brouettes qui vit à la marge et n’a plus trop l’habitude de côtoyer des gens, ça la rend compliquée à appréhender, et je crois que ça a été le cas pour les lecteurices également. Mais quelque part, ce n’est pas un tort, je trouve :)
Je ne subis pas le syndrome des personnages qui n’en font qu’à leur tête, heureusement ! Parfois, oui, ils s’éloignent un peu de ce que j’avais prévu pour eux, mais j’aime bien quand ça arrive. C’est le cas pour des personnages super populaires comme Virgile, qui apparaît dans mes bouquins sur les vampires : Virgile ne devait être qu’un side-kick et il a pris tellement de place qu’il est devenu l’un de mes personnages préférés, avec un rôle central (et souvent le personnage préféré de mes lectrices ❤).
Sia :
Merci pour ces réponses ! Je plaide coupable concernant le non-report des lecteurs de l'édition à compte d'éditeur vers les titres auto-édités : j'ai moi-même lu Le Phare au corbeau sans y donner suite (alors que j'ai adoré ma lecture et que cela m'a mise en confiance sur une production auto-éditée !! Je vais corriger le tir...).
Par curiosité, je suis allée voir le "Passage secret" (il y avait l'adresse à la fin de l'ebook Marcheurs de rêves) : as-tu des gens qui t'écrivent après avoir piraté un de tes romans ? Et reviennent-ils ensuite dans le droit chemin ?
De rien, et aucun problème pour le non-report : je conçois qu’on n’ait pas le temps/l’envie/la possibilité de découvrir des livres auto-édités, pour plein de raisons différentes (la première étant qu’il faut commander les livres en ligne, ce qui n’est pas la même démarche que d’acheter ses livres en librairie). De toute façon, pour les personnes qui veulent prolonger l’aventure, je suis toujours là pour conseiller sur le prochain titre !
Jusqu’ici je n’ai jamais reçu de message de quelqu’un qui a piraté un de mes romans. Je ne sais même pas si ces personnes vont lire cette page ! (ici : https://www.onirography.com/passage-secret/) J’aimerais bien, oui, croire qu’un ou deux lecteurs aient apprécié leur lecture piratée et décident ensuite de lire le reste de façon plus régulière. Malheureusement, le piratage est une réalité et c’est impossible de le combattre, ce que je trouve dommage puisque les tous petits auteurs comme moi en pâtissent. C’est le jeu, ma pauv’Lucette !
Guénnaëlle :
Bonjour Rozenn :) Tout d'abord merci pour tes livres, ils m'embarquent à chaque fois dans cet univers fantastique qui fait tellement du bien (même quand il fait mal ;)). Je me rappelle avoir lu un jour que tu n'aimais pas écrire, mais que tu avais toutes ces histoire à raconter. Si tu pouvais faire autrement, comment ferais-tu ? Aimerais-tu faire des scénarios de film ou de bande dessinée ? La Cité de Minuit en BD, ça serait juste...wahou ! Merci !
Bonjour Guénnaëlle ! Merci à toi pour tout ça ❤
C’est vrai que je n’aime pas écrire, c’est long, c’est chiant, ça fait mal au dos et aux épaules, et le résultat n’est pas toujours à la hauteur, et c’est pour ça que je pense qu’il faut un peu de masochisme pour être écrivain. Dans mes rêves les plus fous, je ferais des séries ! Je serais showrunneuse, à la fois créatrice, autrice et réalisatrice. Je “vois” toutes mes histoires avant de les écrire : elles se jouent dans ma tête avec des acteurs, des décors, de la musique (et même des voix en VF) comme s’il s’agissait d’un film ou d’une série, et il me “suffit” ensuite de les retranscrire sous la forme de mots. Je préfère le format sériel (6 ou 8 épisodes) parce qu’il permet de mieux développer une histoire qu’un film.
J’ai “vu” la Cité de Minuit devenir un film quand j’ai écrit Midnight City. Un film réalisé par les sœurs Wachowski, rien que ça. Je vois littéralement les introductions de Midnight City et de Night Travelers, j’ai même la musique ! (de Moby pour l’un et de The Glitch Mob pour l’autre). Ça a un côté très frustrant de ne pas pouvoir partager ça, et seuls les mots le permettent plus ou moins.
Quant à une BD de la Cité de Minuit, j’adorerais ! Ou un jeu de rôle. Je rêve de développer un jeu de rôle dans cet univers, ce qui est compliqué puisque je ne suis pas du tout rôliste !
Merci à toi !
Heclea :
Wahou, trop intéressant tous ces échanges ! Merci Rozenn. J'ai une autre question : nombre de tes romans ont trait aux rêves ou au cauchemars. Rêves-tu beaucoup la nuit ? et fais-tu partie de ceux qui se souviennent parfaitement de leur rêve au réveil ?
C’est souvent par période : parfois je ne rêve pas (ou plutôt je ne me souviens pas de mes rêves), parfois j’ai l’impression d’avoir une double vie, une triple vie, quatre vies en même temps même, tellement j’enchaîne les rêves. Le souci c’est que ces rêves sont soient terriblement absurdes, soit terriblement effrayants (je fais beaucoup de cauchemars). Et donc ils ne me sont d’aucune inspiration pour écrire mes romans, ce que je trouve bien dommage.
Quant à me souvenir de mes rêves, même chose, ça dépend des périodes. Parfois je m’en souviens parfaitement, parfois je m’en souviens au réveil mais ça s’enfuit au bout d’une ou deux minutes, parfois je ne m’en souviens pas du tout. Ceux qui restent sont des rêves marquants ou récurrents.
Dup :
En lisant ton texte d'intro je me rends compte qu'il me reste encore pas mal de perso à découvrir : joie ! Mais il y en a un qui me titille, Virgile... surtout après ta réponse à Snow ! Je suis presque sûre de l'avoir croisé brièvement, mais où, ma mémoire me lâche sur ce coup là :'( Ma question toute simple est donc : Quels sont les titres et dans quel ordre dois-je les aborder pour une meilleure approche de sieur Virgile ?
Oh la, oui, il y a teeeellement de choses à découvrir !
Pour Virgile, c’est simple, il est apparu dans les Chroniques du Cercle et dans Lettres de sang, soit mes trois romans sur les vampires. Et pour l’ordre, il y en a deux possibles :
l’ordre chronologie : Elisabeta, Lettres de sang, Sinteval (celui que je conseille)
l’ordre de parution : Elisabeta, Sinteval, Lettres de sang
Au choix !
Sia :
C'est super intéressant ces échanges !!
Je rebondis sur la réponse que tu as faite à Fantasy à la carte : que fais-tu quand tu découvres une incohérence ? J'imagine que revenir en arrière et la corriger est difficile alors est-ce qu'elle devient une contrainte ou y a-t-il un saut périlleux spécial autrice à réaliser pour retomber sur ses pieds ?
Quand je découvre une incohérence, en premier lieu, je panique.
Puis je prie pour que personne n’ait remarqué.
Puis je me lance en mode ‘machine à résoudre les problèmes’ et je réfléchis à fond les ballons pour trouver une solution. Parce qu’en effet, c’est impossible de revenir sur un roman déjà paru pour corriger.
C’est difficile de donner des exemples sans spoiler, mais deux des trois plus grosses incohérences croisées ont finalement donné lieu à des développements d’intrigue plutôt intéressants : ça enrichit le texte au lieu de rester un problème. Allez, un exemple quand même : j’ai twisté une incohérence avec un système de magie en transformant cette erreur en une caractéristique particulière pour un personnage, ce qui va lui créer un arc de développement imprévu mais plutôt chouette dans le roman suivant où il apparaît.
J’ai quand même rencontré une incohérence bien plus ennuyeuse récemment, une énorme erreur d’inattention de ma part que je n’explique absolument pas. J’ai dû la justifier en imaginant un truc un peu fumeux, mais comme personne ne l’a relevé, je me dis que ce n’est pas si grave.
Tout ça m’a rappelé qu’il était temps de créer mon propre wiki (sobrement appelé WikiGPédia) pour y mettre toutes ces informations importantes. C’est très compliqué à mettre en place mais ça va devenir urgent car je ne peux pas relire tous mes livres à chaque fois que j’en écris un nouveau !
l’ordre de parution : Elisabeta, Sinteval, Lettres de sang
Au choix !
Sia :
C'est super intéressant ces échanges !!
Je rebondis sur la réponse que tu as faite à Fantasy à la carte : que fais-tu quand tu découvres une incohérence ? J'imagine que revenir en arrière et la corriger est difficile alors est-ce qu'elle devient une contrainte ou y a-t-il un saut périlleux spécial autrice à réaliser pour retomber sur ses pieds ?
Quand je découvre une incohérence, en premier lieu, je panique.
Puis je prie pour que personne n’ait remarqué.
Puis je me lance en mode ‘machine à résoudre les problèmes’ et je réfléchis à fond les ballons pour trouver une solution. Parce qu’en effet, c’est impossible de revenir sur un roman déjà paru pour corriger.
C’est difficile de donner des exemples sans spoiler, mais deux des trois plus grosses incohérences croisées ont finalement donné lieu à des développements d’intrigue plutôt intéressants : ça enrichit le texte au lieu de rester un problème. Allez, un exemple quand même : j’ai twisté une incohérence avec un système de magie en transformant cette erreur en une caractéristique particulière pour un personnage, ce qui va lui créer un arc de développement imprévu mais plutôt chouette dans le roman suivant où il apparaît.
J’ai quand même rencontré une incohérence bien plus ennuyeuse récemment, une énorme erreur d’inattention de ma part que je n’explique absolument pas. J’ai dû la justifier en imaginant un truc un peu fumeux, mais comme personne ne l’a relevé, je me dis que ce n’est pas si grave.
Tout ça m’a rappelé qu’il était temps de créer mon propre wiki (sobrement appelé WikiGPédia) pour y mettre toutes ces informations importantes. C’est très compliqué à mettre en place mais ça va devenir urgent car je ne peux pas relire tous mes livres à chaque fois que j’en écris un nouveau !
4 commentaires:
En lisant ton texte d'intro je me rends compte qu'il me reste encore pas mal de perso à découvrir : joie !
Mais il y en a un qui me titille, Virgile... surtout après ta réponse à Snow ! Je suis presque sûre de l'avoir croisé brièvement, mais où, ma mémoire me lâche sur ce coup là :'(
Ma question toute simple est donc : Quels sont les titres et dans quel ordre dois-je les aborder pour une meilleure approche de sieur Virgile ?
C'est super intéressant ces échanges !!
Je rebondis sur la réponse que tu as faite à Fantasy à la carte : que fais-tu quand tu découvres une incohérence ? J'imagine que revenir en arrière et la corriger est difficile alors est-ce qu'elle devient une contrainte ou y a-t-il un saut périlleux spécial autrice à réaliser pour retomber sur ses pieds ?
Bonjour Rozenn, merci pour tes réponses fort passionnantes et pour te répondre, je vais bien. Après Le Phare du Corbeau (que j'ai beaucoup aimé) et D'Hiver et d'Ombres, j'avoue que maintenant que tu m'as un peu expliqué le fil conducteur de ta création, je vois les choses différemment et ça me donne envie de continuer l'exploration du GP. Tu classes tes récits dans quel genre du coup ? Fantasy ? Fantastique ? Est-ce qu'il t'arrive de bloquer sur l'écriture d'un récit ou de vouloir tout arrêter ?
Bonsoir,
Merci pour toutes ses questions/réponses intéressantes.
Est-ce que tu es une auterice qui aime planifier ses romans avant écriture ?
Dans "D'hiver et d'ombre" as tu écris les voyages et rêves dans l'ordre que l'on découvre où tu te dis "tiens aujourd'hui je vais m'occuper d'un personnage et de son destin" en fonction de tes humeurs. J'ai ressenti des choses différentes selon les univers. Et je me dis qu'on doit être dans une disposition d'esprit différentes que l'on traite de nos rêveurs qui voyages et ceux qui sont immobiles.
Je file arrêver !
Ramettes
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