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dimanche 10 novembre 2013

En novembre 2013 chez L'Archipel



TU ES MORT
Jack Lance


Parution le 13 novembre


Le pitch :
Jason Evans mène une existence tranquille. Il vit dans les collines de Santa Monica, son travail de publicitaire lui plaît et il possède en Kayla une femme qu’il aime plus que tout. 
Mais cette belle harmonie vole en éclats le jour où il reçoit au bureau une première lettre anonyme, en fait un simple Polaroid représentant un cimetière, au dos duquel il lit ce message : « Tu es mort. » 
L’angoisse gagne Jason, dont la phobie du feu renaît de ses cendres. Ses pires cauchemars se réveillent, mais cette fois, ils sont bien réels… 


COUPS DE FOUDRE
Mélanie Rose


Parution le 6 novembre

Le pitch :

Jessica Taylor, une jeune célibataire d’Epsom, est frappée par la foudre. Elle survit miraculeusement mais à son réveil, il semblerait qu’elle ait changé d’identité. Tout le monde la prend pour une certaine Lauren Richardson, épouse et mère de quatre enfants. Qui est-elle vraiment ? Lauren ? Ou Jessica ? La jeune femme n’a d’autre choix que d’endosser sa nouvelle identité et de vivre la vie de Lauren. 

mardi 18 juin 2013

DESCENTE EN ENFER de Preston & Child




Editions L'Archipel
547 pages
23,95 euros


4ème de couv :

RIEN NE PEUT ARRÊTER...
Au moment où l'inspecteur Aloysius Pendergast, du FBI, est sur le point de retrouver sa femme, 
Hélène, elle est kidnappée sous ses yeux dans Central Park.
... UN HOMME QUI N'A PLUS RIEN À PERDRE.
Décidé à la retrouver coûte que coûte, Pendergast se lance alors, 
jusqu'au Mexique,à la poursuite des ravisseurs. Mais la situation lui échappe. 
Commence alors un cauchemar éveillé, dont il sort peu à peu en enquêtant sur une série de crimes.
SURTOUT S'IL SE NOMME PENDERGAST !
Celui qui les a commis - Pendergast en est persuadé - lui adresse un message codé. À lui de le décrypter pour percer à jour la mystérieuse organisation responsable de la disparition d'Hélène...


L'avis de Dup :

Descente en enfer est le douzième volume des auteurs Preston & Child consacré à l'inspecteur Pendergast. Et si j'ai fait ma mauvaise élève peu assidue dans cette série, ayant lu seulement les premiers, je dois avouer que je me réjouissais de renouer avec ce personnage si charismatique. Car oui, Pendergast c'est quand même quelque chose, enfin, quelqu'un ! Inspecteur du FBI, mais pas du tout du genre Men in black classique. C'est plutôt le lord anglais, très classe. Un langage soutenu, jamais un mot plus au haut que l'autre, mais cinglant car Aloysius ( quel prénom, j'vous jure ! Mais il lui va si bien :) ) ne supporte pas la médiocrité. Ce trait de caractère le rend très souvent froid, sec, même avec ses proches. Alors quand il doit s'adresser à des personnes qu'il n'estime pas particulièrement ( ses collègues du FBI entre autre...), les dialogues sont savoureux.
Autre détail qu'il faut savoir : notre Pendergast est richissime. Son "travail" au sein du FBI n'est qu'une façon de s'occuper intelligemment l'esprit, son salaire étant de un dollar annuel... Rolls-Royce, costume sur mesure et cravate en soie italienne,sept plis, s'il-vous-plait !

Tous ces détails mis bout à bout permettent à nos auteurs de se régaler avec leur personnage principal et bien évidemment cela se ressent, le lecteur se régale à son tour.

Et donc suivre cet inspecteur hors-norme a été un plaisir. D'autant que les auteurs ne le ménagent pas et lorsque l'on assiste à sa descente en enfer, c'est poignant. Mettre cet être exceptionnel en état de déprime passe encore, mais le faire sombrer encore plus ( si, si, c'est possible ! ), là c'est révoltant ! Et il fallait bien cette intrigue tarabiscotée à souhait, le touchant personnellement pour le tracter hors du trou...

En revanche, là où j'ai été déstabilisée dans ma lecture, c'est que ce n'est pas une intrigue que nous suivons, mais plusieurs et indépendantes. Mettant en scène des personnages nouveaux pour moi. La faute à mon manque d'assiduité sans aucun doute. Ce qui fait dire à Fredo du blog 4 de couv " qu'en suivant la destinée de ces personnages secondaires, on suivait plus les aventures d'une famille que d'un personnage en particulier" s'est avéré pour moi fastidieux. Je n'avais qu'une hâte, retrouver les passages concernant ceux que je connaissais : Pendergast, d'Agosta, Proctor. Je suis passée à côté de la moitié du roman en quelque sorte...

Mais ce bémol ne concerne que moi bien évidemment. Je pense que tous les fans de cette série seront ravis de lire ce nouvel opus. D'autant que l'écriture est toujours la même, avec de l'action, un voyage à fond les ballons de New-York au fin fond de la jungle brésilienne, de la baston, de la chasse aux papillons :)), des surprises, des rebondissements. Bref, tous les bons ingrédients sont là, avec en plus un final qui ouvre la porte pour un treizième volume éventuel. 



lundi 15 avril 2013

LE VOLEUR DE REGARDS de Sebastian Fitzek





Editions l'Archipel
384 pages
22 euros


4 ème de couverture :

Une vague de crimes d'une cruauté sans précédent s'abat sur Berlin. Un tueur en série s'infiltre dans les foyers en l'absence du père de famille, tue la mère, enlève l'enfant et accorde un ultimatum à la police pour le retrouver. Passé cet ultimatum, l'enfant est assassiné. En référence à l'oeil gauche qu'il prélève sur ses victimes, les médias lui ont attribué un surnom : le Voleur de regards... Alexander Zorbach, un ancien policier devenu journaliste, se rend sur une nouvelle scène de crime. 
Une mère de famille a été assassinée et son fils de 9 ans a disparu. Alexander se retrouve pris dans l'engrenage du jeu machiavélique auquel se livre le Voleur de regards, qui veut lui faire porter le chapeau. Zorbach a 45 heures pour retrouver l'enfant et prouver son innocence. Le compte à rebours est lancé...



L'avis de Dup :



Bien souvent on utilise " Âmes sensibles s'abstenir " pour qualifier un bon thriller. Dans ce dernier roman de Sebastian Fitzek, cette accroche n'a pas sa place. Il n'y a rien d'épouvantablement gore dans son roman, enfin si, des enfants enlevés, énucléés de l'oeil gauche et cachés, leur mère assassinée tenant un chronomètre donnant le temps imparti pour retrouver l'enfant en vie, n'est pas cool en soit... mais il faut bien une trame n'est-ce-pas ? Mais jamais l'auteur ne nous soumet à des scènes odieuses. Quoique... Bref, ce qui marque le plus dans cette lecture, c'est la tension. Ce n'est pas âmes sensibles, mais " Nerfs sensibles s'abstenir " !
Oui, nos nerfs sont mis à rude épreuve, dès le début et cela va crescendo. Les derniers chapitres sont justes insoutenables. De plus l'auteur manie l'art de couper ses chapitres avec une accroche livrant un point d'interrogation encore plus gros que tous ceux qui s'accumulent déjà dans notre tête, et son roman devient très vite un " inlâchable ". Le syndrome d'oppression, d'asphyxie qu'il traduit si bien dans la bouche de la jeune victime que l'on suit, Tobias, se transfère véritablement au lecteur.

Alexander Zorbach était flic. Mais depuis "l'affaire du pont ", depuis qu'il a dû tuer une forcenée pour sauver la vie d'un nourrisson qu'elle avait enlevé, il se débat avec sa conscience. Il est maintenant journaliste, et son couple n'est plus qu'un souvenir. Il a déjà fort à faire pour préserver le lien avec son fils de onze ans malgré un métier chronophage et n'avait franchement pas besoin de se retrouver impliqué dans le jeu du Voleur de regards. Mais ce dernier vient encore de tuer une maman, d'enlever son enfant et il sème sur les lieux du crime des indices qui montrent Zorbach du doigt. C'est donc en cavale qu'il va devoir lui aussi enquêter, au départ pour prouver son innocence, mais très vite surtout pour sauver la vie menacée de ce gamin. Visiblement le psychopathe le connait bien, mais la question qui lui revient sans cesse, c'est pourquoi moi ?

Le timing imposé par le tueur : 45 heures, et le livre chapitré à rebours induit une pression dès le départ. Les chapitres consacrés à Alex Zorbach sont à la première personne du singulier et nous rapproche encore plus de ce personnage. D'autant que dès le début, on commence donc par l'épilogue, Alex nous conseille fortement d'arrêter là cette lecture ! Et bien sûr, on s'empresse de désobéir... 

L'auteur va mettre en scène une aveugle aux côtés de notre journaliste. Alina Gregoriev est physiothérapeute ( mon cerveau traduit : kiné, ok ), qui pratique le shiatsu ( mon cerveau dit ouhla...), et qui en plus a un don : en manipulant les gens, elle a des visions, des flashs de ce qu'ils ont fait ( là, normalement je me sauve en courant ! ). Seulement voilà, Alex pense exactement comme moi, l'empathie augmente et c'est ensemble que l'on va apprendre à connaître, à douter puis à croire en Alina. Le fait qu'elle soit aveugle d'ailleurs est un sacré plus dans ce roman, car on en apprend beaucoup sur leur façon de voir ( et oui !) notre monde. C'est très poignant, sans être larmoyant, en un mot c'est juste vrai.

Le jeu de cache-cache imposé par le tueur est machiavélique et c'est quasiment en apnée que l'on avale les pages de ce livre. Je crois que j'ai soupçonné à peu près TOUS les intervenants de cette histoire... Je m'étais régalée avec Le briseur d'âmes, c'est confirmé avec Le voleur de regards, je suis fan ! 

En résumé, un thriller psychologique monstrueusement bien fait. Pour les amateurs du genre. Nerfs solides recommandés. Si vous réunissez ces deux dernières conditions, alors plus aucune hésitation, foncez, lisez-le ! Moi je signe de suite pour les suivants, les yeux fermés.

dimanche 24 mars 2013

En mars 2013 chez L'Archipel / Galapagos


Chez L'Archipel

Le voleur de regards
Sebastian Fitzek



Parution le 6 mars 2013
350 pages environ
21 euros


Une vague de crimes d’une cruauté sans précédent s’abat sur Berlin. Un tueur en série s’infiltre dans les foyers en l’absence du père de famille, tue la mère, enlève l’enfant et accorde un ultimatum à la police pour le retrouver. Passé cet ultimatum, l’enfant est assassiné. En référence à l’œil gauche qu’il prélève sur ses victimes, les médias lui ont attribué un surnom : le Voleur de regards…
Alexander Zorbach, un ancien policier devenu journaliste, se rend sur une nouvelle scène de crime. Une mère de famille a été assassinée et son fils de 9 ans a disparu. 
Alexander se retrouve pris dans l’engrenage du jeu machiavélique auquel se livre le Voleur de regards, qui veut lui faire porter le chapeau. 
Zorbach a 45 heures pour retrouver l’enfant et prouver son innocence. Le compte à rebours est lancé…

Moi je dis Miammmm
Du même auteur : Le briseur d'âmes, coup de coeur sur Bookenstock.


Chez Galapagos

Le bonheur en cinq lettres
Pascale Perrier


Parution le 6 mars 2013
208 pages
15,95 euros


« Maman est morte. Il y a un mois, tout allait bien. Quatre semaines ont suffi pour que clac, l'affaire soit réglée. Je suis devenue orpheline – le gros mot est lâché – ainsi que mon frère Gaspard, dix-sept hivers, et ma sœur Joséphine, dix-neuf printemps. 
Depuis que c’est arrivé, tout le monde s’applique à gommer le mot. Pourtant, de maman, il ne reste plus qu’un vase contenant une poudre blanche. 
Du blanc trop blanc, si vous voulez mon avis. » 

Chloé, 15 ans, va apprendre à vivre seule. Enfin seule, pas
vraiment. Il y a Joséphine, la grande sœur, qui devient tutrice légale. Il y a aussi Gaspard, le frère, amoureux de jeux vidéo et d’opéra. Sans oublier le père, qui vit dans une hutte polynésienne avec sa nouvelle femme, ses quatre fils et ses lubies écologiques. Et enfin Marjolaine, la grande amie, avec sa famille parfaite (surtout si on n’y regarde pas de trop près)…
Cinq années durant lesquelles, au jour anniversaire de la disparition de sa mère, elle reçoit une 
lettre confiée à un notaire …
mardi 18 décembre 2012

GUIDE DU MONDE DE BILBO de Stefan Servos



Dans les coulisses du film de Peter Jackson


Editions L'archipel

12,95 €

100 pages





Présentation de l'éditeur:


Après le triomphe commercial du film en trois épisodes duSeigneur des Anneaux (2001-2003), Le Hobbit, un voyage inattendu de Peter Jackson s'apprête à déferler sur les écrans du monde entier en fin d'année.
Pour tout connaître de la genèse du film et des secrets du tournage, Stefan Stervos a conçu cet album découpé en 12 chapitres clairs, concis et complets, qui répondent aux questions que se posent les fans.
Quelle place à part occupe Bilbo le Hobbit dans l'oeuvre de Tolkien ? Comment le mythe est-il né ? Les droits du film furent-ils difficiles à négocier ? Quelle est la véritable personnalité du réalisateur Peter Jackson ? Comment s'est déroulé son travail d'adaptation ? Pourquoi Guillermo Del Toro n'a-t-il finalement pas joué ? Qui sont les acteurs, à commencer par Martin Freeman, le rôle principal ? Quels furent les lieux de tournage en Nouvelle-Zélande ? Comment s'est-il déroulé...
Toutes les réponses en texte et en images !


L'avis de Phooka:

Comme moi vous êtes fans de Tolkien, de Bilbo, du Seigneur des anneaux ou tout simplement intéressés. Voilà le livre idéal. Une sorte de grosse revue, couverture souple et superbes illustrations, dans laquelle vous allez trouver des tonnes d'infos aussi bien sur Tolkien lui-même, que sur la genèse de la terre du milieu. Mais évidemment et surtout, vous allez apprendre tous les secrets de tournage "behind the scene". Découvrir que Peter Jackson a toujours voulu faire Bilbo, quasiment depuis tout petit. Que finalement pour ce faire, il a accepté de faire "le seigneur des anneaux", mais même ça, ça n'a pas été facile. Réunir le budget, trouver des "investisseurs" potentiels, obtenir les droits, trouver un producteur de cinéma qui le suivra, rien n'a été facile, très loin de là. Je n'imaginais pas à quel point même cela a été difficile et le temps qu'il a fallu pour y arriver. J'admire encore plus la persévérance de Peter Jackson.
Mais bref, revenons à ce livre qui est construit en chapitres clairs et bien illustrés. Ça se lit presque comme du thriller. On apprend énormément de choses sur tout ce qui tourne autour de Bilbo sans que ce soit rébarbatif à aucun moment. C'est à la fois suffisamment approfondi et suffisamment "grand public" pour ravir les fans et intéresser les simples "touristes" :). Le genre de livre qui conviendra à tous.
J'y ai appris beaucoup de choses. Entre autre et pour ce qui me concerne, le pourquoi de trois films pour Bilbo (alors que le livre est infiniment plus mince que la trilogie du seigneur des anneaux). Cela m'a rassurée d'ailleurs et j'attends avec impatience d'aller voir le premier en décembre. Il me tarde ... 


Un très chouette livre pour tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin à Bilbo, Tolkien et Peter Jackson. Vraiment très agréable à lire et joliment illustré. Puisque c'est la saison, si vous cherchez un cadeau de Noël ou si simplement vous avez envie de (vous) faire plaisir, je vous conseille fortement d'y jeter un oeil !

PS: Maintenant que j'ai vu le film, je vais me replonger une deuxième fois dans ce livre !

dimanche 4 novembre 2012

Les dernières nouveautés dans la collection GALAPAGOS




Jane Kinkster

Le dernier des Aguris
Tome 1  
L'OMBRE DU CRÉPUSCULE




Editions L'Archipel
200 pages environ
14,95 euros
Parution le 24 octobre 2012



Résumé :

Pourchassés par une horde barbare, Lorella et Jonas échappent à la mort grâce à l’intervention d’un inconnu, qui les dépose devant la grille d’un étrange manoir. 
Les deux jeunes gens ne tardent pas à découvrir qu’il s’agit d’un établissement destiné à former la future élite du monde. On y apprend la cruauté et la manipulation, puis on sélectionne les plus forts. On y gomme aussi les derniers vestiges de la culture, du savoir et de l’humanité… 
Lorella et Jonas vont y découvrir l’étrange personnalité de leurs condisciples, à l'occasion d'une série de morts inexpliquées, toutes suivant le même rituel: des noyades de jeunes filles, au cou étrangement poinçonné de traces sanglantes. Alors que nos deux héros s'approchent trop près de la vérité, ils sont victimes d’une chasse à l’homme…




Charlotte Bousquet

La peau des rêves
Tome 3
LES CHIMÈRES DE L'AUBE


Editions L'Archipel
280 pages environ
15,50 euros
Parution le 7 novembre 2012


Résumé :
Dans les ruines de la Sagrada Familia, Najma, une gitane aux pouvoirs mystérieux, est prisonnière du clan d’Itzan. Pour gagner du temps et retarder son exécution, elle utilise la magie de ses tatouages et raconte des histoires qui prennent vie. Mais qui est-elle ? Pourquoi usurpe-t-elle la place de la véritable cible, Ximena, la fille de l’ennemi juré d’Itzan et des siens ? Les Chimères découvriront-elles la supercherie ?

L'avis de dame Phooka sur les tomes précédents : 







vendredi 3 août 2012

Les parutions de la rentrée chez L'Archipel



Lancement de la collection Coeur Noir
Des polars au coeur de l'histoire...


FRANÇOIS THOMAZEAU
Les Anneaux de la honte


parution le 29 août

Été 1936, Albert Grosjean, reporter à Sport, hebdomadaire proche du parti communiste, mène une campagne farouche contre l'organisation des jeux olympiques à Berlin. Envoyé dans la capitale du Reich avec une délégation française, il rencontre Anna Mayer, escrimeuse juive qui participe aux Jeux avec l'équipe allemande...


MAUD TABACHNICK
Je pars demain pour une destination inconnue


parution le 5 septembre


A Lyon, Serge Menacé, fils de déportés, prend contact avec l'abbé Glasberg pour lui confier une mission délicate. Il s'agit d'obtenir du ministère de la marine l'autorisation d'embarquer plus de 4 500 rescapés des camps à bord du navire Exodus.
Destination : la Terre promise. Mais les Britanniques ont limité à 1500 le nombre de certificat d'entrée pour l'année 1947...
Étayé par une documentation historique précise, Maud Tabachnik raconte l’épopée de l’Exodus dans ce roman à suspense.


COLLECTION POCHE
L'ARCHIPOCHE


MARY ELIZABETH BRADDON
Sur les traces du serpent


Parution le 29 août

Intrigues familiales, morts suspectes, vengeance et injustice, meurtres sordides, intrigue machiavélique… Dans la plus pure tradition du roman à sensation, Sur la trace du serpent mêle habilement rebondissements, éléments mélodramatiques et une bonne dose d’ironie à la Dickens.



LISA GARDNER
La fille cachée


Parution le 29 août

Texas, 1977. Un tueur en série, Russell Lee Holmes, est exécuté pour le meurtre de six enfants, dont Meagan Stockes, le fille d’un honorable médecin de Boston. Mais qu’est devenue sa petite fille, dont il n’a jamais révélé l’identité ?
Une vingtaine d’années plus tard, un journaliste de la presse à scandale révèle à Mélanie, la fille adoptive du Dr Stockes, la véritable identité de son père génétique : Russell Lee Holmes !






jeudi 15 mars 2012

LE BRISEUR D’ÂMES de Sebastian Fitzek




Editions L'Archipel
 pages
euros


Résumé :

Un psychopathe sévit dans les environs de Berlin. Lorsque la police retrouve ses victimes, ces dernières sont vivantes, mais prostrées dans un état végétatif, psychologiquement anéanties, comme privées de conscience… D’où le surnom que lui a donné la presse : le briseur d’âmes. 
Caspar, un amnésique d’une quarantaine d’années interné dans une clinique psychiatrique de luxe, n’aurait jamais imaginé croiser le chemin de ce psychopathe. Et pourtant, en cette veille de Noël, alors qu’au-dehors une tempête de neige fait rage, lui, le personnel médical et quelques patients se retrouvent enfermés dans la clinique, coupés du monde… avec le briseur d’âmes. Et, cette fois, il tue !

L'avis de Dup :

Il y a longtemps que je n'avais pas lu un thriller psychologique d'une telle portée. Ce livre, je l'ai dévoré en même pas deux jours, impossible à lâcher malgré le malaise grandissant en moi au fur et à mesure de l'avancée de ma lecture.

Pas un livre marathon, où c'est tellement horrible qu'il me faut le poser, marcher, évacuer et revenir. Non, un livre déshydratant, voilà le mot adéquat ! Un roman qui vous fait tellement déglutir devant les évènements qui s'enchaînent qu'il faut vraiment une bouteille d'eau à côté tant le gosier s'assèche vite.

La construction d'abord de ce thriller est machiavélique. Il commence par une étude du passé. Le premier chapitre s'intitule alors : 71 jours avant la Peur. et on étudie un dossier médical psychiatrique. Il s'agit alors de la première victime du Briseur d'âmes. Ensuite vient le présent : Aujourd'hui, bien plus tard, de nombreuses années après la Peur. où des étudiants bénévoles commencent à lire ce fameux dossier médical gros de 300 pages. Ils sont payés, mais ont dû signer une décharge et s'engager à lire le dossier jusqu'au bout. Ledit dossier médical ressemble à un roman fait remarquer un des étudiants. En lettres vertes sur fond vert est inscrit LE BRISEUR D’ÂMES. Sur la couverture on distingue également des silhouettes d'oiseaux noirs planant au-dessus d'une forêt menaçante. Puis le récit lui-même qui va égrener les chapitres :  3 heures avant la Peur. Et chaque début de paragraphe donne l'heure à laquelle se passe les évènements. 23h 07, 23h 09, 23h10.... C'est flippant, stressant et surtout addictant !!!

Tous les évènements vont se dérouler dans une clinique psychiatrique isolée géographiquement, mais aussi par les conditions climatiques extrêmes du moment : tempêtes de neige, blizzard et froid sibérien. Huis clôt à l'ambiance glaciale. Et le Briseur d'âmes entre en action. Mais qui est-il ? Comme tous les personnages de ce drame ont quelque chose de spécial, entre les psychotiques soignés sur place, l'amnésique, l'infirmière qui n'a rien d'une infirmière, le concierge qui semble en savoir bien plus sur les malades que son rôle ne le permettrait, un directeur dont les activités ne semblent pas toujours bien claires ( que fait une salle d'autopsie suréquipée et une morgue attenante pourvue de dix compartiments réfrigérés dans une clinique psychiatrique ?), et puis ce directeur semble en conflit ouvert avec sa psychiatre sur les thérapies proposées aux patients...

Bref, un vrai sac de noeuds qui se lient, se délient pour s’emmêler à nouveau, le tout à une vitesse pharaonique et laisse le lecteur... assoiffé, oui, c'est ça ! Je n'ai absolument pas vu venir l'issue, c'est-à-dire l'identité du Briseur d'âmes. Roulée dans la farine la Dup quand est arrivé le moment de la Peur ! La vache !

Seulement voilà, ce n'était pas fini. Il restait un chapitre : Aujourd'hui, bien plus tard, de nombreuses années après la Peur... Et là on se dit, non, c'est pas possible ! Pas ça ! Ce serait trop machiavélique ! Seulement voilà, on n'en sait pas plus. Quand le point final arrive, on ne sait pas ce que sont devenus les étudiants cobayes... Mais le pire reste à venir. C'est quand vous refermez le livre que vous prenez votre plus grande claque ! Énorme !!! 

Amateur de thriller psychologique, ce livre est fait pour vous. Un sacré coup de coeur. En revanche âmes sensibles s'abstenir...








mercredi 22 février 2012

LA DAME EN NOIR de Susan Hill




Editions L'Archipel
217 pages
18.50 euros


Résumé :

Angleterre, début du XXe siècle. Par un mois de novembre froid et brumeux, Arthur Kipps, jeune avoué londonien, est dépêché dans le nord du pays pour assister aux funérailles d'Alice Drablow, 87 ans, puis trier ses papiers en vue d'organiser sa succession.
À Crythin Gifford, village où Kipps pose ses valises, les habitants lui battent froid dès qu'il prononce le nom de feue Mme Drablow, unique occupante du Manoir des Marais, demeure isolée, battue par les vents et située sur une presqu'île uniquement accessible à marée basse.
Lors de l'inhumation, dans une église quasi déserte, Arthur remarque la présence, un peu en retrait, d'une femme tout de noir vêtue, le visage émacié, comme rongée par une terrible maladie. Il l'aperçoit ensuite dans le cimetière, mais elle s'éclipse avant qu'il ait le temps de lui parler...
Cette femme en noir, Arthur la verra de nouveau aux abords du manoir, une fois qu'il s'y sera installé pour commencer son travail. Mais se produisent alors nombre de phénomènes mystérieux qui ébranleront le jeune homme et feront vaciller sa raison...
Comme il l'apprendra peu à peu, une malédiction plane sur ces lieux...




L'avis de Dup :


Je connaissais déjà la plume de Susan Hill pour avoir lu il y a quelques années, goulûment, une série de trois romans policiers mettant en scène le charismatique inspecteur Simon Serailler que j'avais adoré(s) ( oui sans s pour l'inspecteur et s pour les trois romans :)) : Meurtres à Lafferton, Où rodent les hommes et Au risque des ténèbres. Aussi quand les éditions L'Archipel m'ont proposé de lire ce nouveau roman, me suis-je empressée d’acquiescer !


Inutile de dire que j'ai été plus que surprise, car là nous sommes dans un tout autre genre. D'ailleurs je m'insurge sur cette appellation Thriller apposé sur la couverture ! Ce livre n'a rien d'un thriller, ni même d'un roman policier. C'est plus un petit récit fantastique que nous propose l'auteur. Petit parce que 217 pages seulement, mais dense, je vous promets.


Peu de dialogues, beaucoup de descriptions. L'auteur joue énormément sur les couleurs, et c'est ainsi que j'ai appris que les oeufs de merle étaient bleu et ceux des mouettes gris-bleu :)).  La plume de Susan Hill est très poétique et se lit avec gourmandise.
Extrait page 76.
En ce début d'après-midi, l'air était limpide et le soleil brillait toujours, mais la luminosité était déjà moins vive, car le ciel avait perdu sa belle couleur bleu cobalt de la matinée pour virer au gris argent. Dans cette campagne totalement plate que nous traversions à bonne allure, les arbres étaient rares, les haies basses dépourvues de feuillage paraissaient sombres, et la terre creusée de sillons bien droits présentait une riche nuance taupe.
Et arriver à être poétique avec cette histoire lugubre, glaciale, moi je tire mon chapeau.


Notre jeune clerc de notaire, Arthur Kipps, 23 ans, est expédié par son patron dans le nord du pays à Crythin Gifford pour représenter l'étude notariale à l'enterrement d'une cliente. Il devra aussi trier les papiers de la défunte. Échapper au brouillard londonien lui semble une aubaine même si pour cela il doit abandonner sa fiancée quelques jours.


La fameuse dame en noire va faire sa première apparition spectrale à l'église lors de l'enterrement, puis encore au cimetière lors de l'inhumation. Mais lorsqu'Arthur veut en parler, les gens de Crythin prennent peur, fuient, se taisent. Bah ! Ce ne sont que de pauvres provinciaux pétris de superstitions...


Puis il se rend au manoir de feu Mme Drablow : le Manoir du Marais. Gris, sombre, isolé sur un îlot de terre relié au reste du monde uniquement à marée basse par la Chaussée des Neufs Vies. A droite l'estuaire, à gauche les marais salants.
Vous rajoutez à cela un climat pourri, humide, froid, venteux la plupart du temps.
Le décor et l'ambiance sont posés.
Et Susan Hill va faire monter lentement mais sûrement la pression. La dame en noire encore, des portes condamnées qui s'ouvrent toutes seules, des bruits étranges dans la maison, des hurlements à l'extérieur dans les marais... il y a de quoi perdre son sang froid, voire sa raison.


Arthur Kipps va finir par découvrir tout seul l'histoire du drame qui a eu lieu dans le passé et qui semble à l'origine de ces manifestations. Certains parlent même de malédiction. N'écoutant que son courage... il fait demi tour et rentre à Londres. Il tache de reprendre une vie normale, s'efforçant d'écarter de son esprit tous ces souvenirs horribles... mais la dame en noir n'en a pas finit avec lui !


J'ai bien aimé cette lecture, j'aime l'écriture de Susan Hill, cependant ce livre risque de ne pas plaire à tout le monde. Parce qu'il est estampillé Thriller...et risque de décevoir les amateurs de thrillers purs et durs. C'est plus un roman d'atmosphère je dirais, qui plaira probablement plus aux amateurs de fantastique.




D'autres avis chez : MyaRosa, madoka, Kassie, Mycoton32, karline05, petit-lips, Archessia,letteratura, Galleane, Melisende, Ella, Rose Book, Mathilde, marie1001


jeudi 20 octobre 2011

NUIT TATOUÉE de Charlotte Bousquet


La peau des rêves tome 1




Nuit tatouée, de Charlotte Bousquet
Collection Galapagos
Parution le 12 octobre 2011
231 pages
14,50 euros

Présentation de l'éditeur:

Être libre de son destin. Venger ses parents massacrés par des chimères, alors qu’elle n’était qu’un bébé. Telles sont les ambitions de Cléo, orpheline élevée par le clan du Passage, ennemi juré des créatures hybrides.
Jusqu’au jour où, combattant l’une d’elles, Cléo voit ses certitudes voler en éclats. D’où vient son tatouage au poignet, étrangement semblable à celui de la chimère ? Que signifient ces visions terribles liées à la mort des siens ?
Convaincue que son adversaire connaît la clef de son passé, l’adolescente se lance sur ses traces. En chemin, elle affrontera la haine, la trahison… et son désir pour Axel, un ténébreux ailé.


Passionnée par l’histoire, la mythologie et les contes, Charlotte Bousquet, née en 1973, est l’auteure de quinze romans dont La Marque de la bête (Mango, 2009), Noire Lagune et Princesse des os (Gulf Stream, 2010). Cytheriae(Mnémos, 2010) a reçu le premier prix Elbakin 2010 et le prix Imaginales 2011.





L'avis de Phooka:


Un roman, deux découvertes:
Charlotte Bousquet que je souhaitais lire depuis longtemps.
La nouvelle collection jeunesse chez l'Archipel, Galapagos, dont les trois premiers titres viennent tout juste de sortir (voir ICI)

Un petit aparté sur le livre lui-même en tant qu'objet. Il est très beau, très agréable à la vue et au toucher. Oui je sais ça peut paraître idiot, mais ce genre de détail peut faire la différence en librairie et peut inciter à l'achat ou non.

C'est un récit conçu comme une poupée russe. Charlotte Bousquet nous raconte l'histoire de Najma, qui est prisonnière d'un clan et qui elle, raconte aux enfants l'histoire de Cléo. Cléo, elle ne raconte rien car la tradition du conte a été perdue dans son clan depuis la mort du dernier conteur qui n'a laissé aucun initié. Et pourtant Cloé aime les histoires, à tel point qu'elle est la seule à lire. Elle aime les classiques, Molière, Cyrano de Bergerac. Elle les lit et les relit jusqu'à les connaître par cœur, ces livres qu'elle doit voler et cacher ... car Cléo vit dans un monde post apocalyptique, à Paris. Un Paris bien différent de celui qu'on connait. Un Paris dans lequel le danger est omniprésent à chaque coin de rue (ou de ce qu'il en reste !). Des clans se sont crées pour survivre, essayer de trouver de la nourriture, se défendre contre les mutants ... Une vie dure, éprouvante avec la mort qui rôde toujours pas bien loin. Une vie dans laquelle "aller chasser le mutant" constitue le seul et unique divertissement et Cloé veut participer et prouver sa valeur. D'ailleurs, bonne chasseuse, elle l'est puisqu'elle se retrouve en face d'une créature  hybride. Elle se bat, elle veut le tuer et elle y arrive presque. mais soudain, elle réalise que la chimère qu'elle combat n'est pas si différente d'elle et pire...elles ont le même tatouage au poignet .. Le monde de Cléo s'écroule et elle va chercher à comprendre.

Ce qui est étrange avec ce roman, c'est que l'héroïne Cléo n'est pas éminemment sympathique, pas le genre de personne pour qui on ressent de l'empathie. Et pourtant, on suit son parcours avec passion et on veut comprendre tout autant qu'elle. Elle a du mérite de vivre dans ce monde (comme tous les personnages du roman d'ailleurs) car la survie y est difficile et il faut se battre contre les éléments, contre les monstres, contre les mutants et souvent contre les membres de son propre clan.

Je me suis faite piégée par le récit, dévorant les pages les unes après les autres.On a envie de savoir ce que va devenir Cléo à tel point que on en oublie le sort de Najma la conteuse, celle qui nous raconte l'histoire et qui est prisonnière. Et elle aussi (et je dirais presque elle surtout) on voudrait la connaître mieux. Elle a un don, un don de conteur et on ne sait quasiment rien d'elle. Et pourtant son personnage est toujours présent en filigrane et c’est sans doute le personne qui m'intrigue le plus. J'espère vraiment qu'on en saura plus sur elle dans le tome suivant.

Un roman jeunesse, assez "dur" parfois et qui permet de se poser des questions sur la différence. A partir de 13 ans comme indiqué sur la couverture, mais pas avant. Le monde décrit n'est pas forcément très original, mais le sujet est vraiment bien traité, un roman agréable à lire, rythmé et plein de suspense. Un bon début pour cette nouvelle édition jeunesse ! Je lirai la suite c'est sûr.

samedi 24 septembre 2011

En Octobre chez L'Archipel

Un thriller qui promet...


Séquestrée, de Chevy Stevens
sortie prévu le 13 octobre

Annie O’Sullivan, 32 ans, est agent immobilier sur l’île de Vancouver. Par un dimanche ensoleillé d’août, alors qu’elle fait visiter une maison à un potentiel acquéreur, ce dernier lui plante le canon d’un revolver
dans le dos et l’oblige à monter dans sa camionnette... Quand Annie se réveille, elle est prisonnière dans une cabane isolée en pleine forêt. C’est le début d’un enfer qui durera plus d’un an : douze mois où le Monstre – comme Annie le surnomme – fera d’elle sa chose...

Tellement miamm que je l'ai déjà lu et chroniqué d'ailleurs! ICI

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Des Jeunesses...

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Nuit tatouée, de Charlotte Bousquet
Collection Galapagos
Parution le 12 octobre

Installé dans un théâtre en ruine, le clan du Passage règne sans partage - et combat les chimères qui osent s’aventurer à proximité. Cléo, une jeune fi lle du clan, affronte un hybride qui porte sur son poignet un tatouage semblable au sien. Hantée par de terribles visions, Cléo n’aura de cesse de retrouver son mystérieux adversaire…

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L’Eau des anges, de Béatrice Eugémar
Collection Galapagos
Parution le 12 octobre


Née en 1353 à Grasse, Douceline, fille d’apothicaire, se découvre très jeune un odorat sensible. Elle se passionne pour les parfums et apprend à connaître les plantes grâce à l’enseignement d’un frère dominicain. Lorsqu’elle a dix ans, sa mère meurt soudain Douceline reprendra la boutique et inventera un parfum, L’Eau des anges, en hommage à Angelo, le jeune Génois dont elle est amoureuse. Mais son père souhaite la marier à un fils de marchand...

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Avant les ténèbres, de Nicolas Cluzeau
Collection Galapagos
Parution le 12 octobre


Les terres d’Orlandie sont la proie d’une étrange épidémie : ce fléau décime les magiciens et les druides, garants des libertés de l’île. Profi tant de la vacance du pouvoir, Endrew, fils d’un seigneur maudit, se proclame Haut Roi. Les Marches méridionales refusent son autorité. Toute la région est alors entraînée dans la guerre civile.…