dimanche 31 juillet 2016

Potins de Phooka #1




La suite de nos aventures aux USA. Ne vous attendez pas aux jolies photos de Zion ou Bryce. C'est la 4 ou 5ème fois qu'on y va et on en a plein les disques durs à  la maison ! ;)


Nous sommes passés  à  Zion juste pour faire la rando "The Narrows" qu'on adore (marcher au fond d'un canyon dans une rivière , génial ). Chaque année on va un peu plus loin ...
Je crois bien qu'on n'a pris aucune photo ...oops

Puis Bryce qu'on a vu pour la première fois il y a 20 ans ...avec 30 cm de neige. On était seul dans le parc et on en garde un souvenir fabuleux. Une photo cette fois avec l'orage qui menace.



Ensuite Escalente, le genre de parc qu'on adore dans lequel on peut combiner pistes et randos. Un exemple ci-dessous avec la piste d'approche et la rando












Ensuite Capitol Reef avec son fameux Cathedral Trail . Là,  j'ai eu un peu les chocottes :) la piste était mauvaise et la glacière n'a pas résisté aux chaos ...

Sur les photos vous voyez l'évolution du paysage au long des 60 km de piste. On est arrivé à plus de 3000 m!











RIP la glacière. ..




Direction  Salt Lake City , ses mormons et son lac salé 







Et aujourd'hui,  c'est laundry day !!



Fascinant non ?

Mdr



PS: J'espère ne pas vous ennuyer avec mes billets vacances. Le but n'est pas de me "la péter ", mais plus de vous faire voir des coins moins connus des USA. D'ailleurs demain on part vers l'Idaho et l'Oregon dans des coins bien plus paumés que ce qui précéde ... C'est ça qu'on aime et papoter avec les locaux surpris de voir des touristes débarquer  ...



samedi 30 juillet 2016

C'est l'été ...





Et comme chaque été, les Vénérables mettent le blog en pause.

Y'aura peut-être des chroniques ... ou pas !

Y'aura peut-être des annonces de  sortie ... ou pas !

Y'aura peut-être rien ... ou pas !!


Bonnes vacances à ceux qui en ont, bel été à tous.

Des bisous et on se retrouve à la rentrée !


vendredi 29 juillet 2016

Mr MERCEDES de Stephen King






Mr Mercedes

Auteur(s) : Stephen King
Lu par : Antoine Tomé
Durée : 15 h 59 min 

Version intégrale | Livre audio

Date de publication :19/08/2015
Éditeur : Audiolib


Le pitch :


Midwest 2009. Un salon de l'emploi. Dans l'aube glacée, des centaine de chômeurs en quête d'un job font la queue. Soudain, une Mercedes rugissante fonce sur la foule, laissant dans son sillage huit morts et quinze blessés. Le chauffard, lui, s'est évanoui dans la brume avec sa voiture, sans laisser de traces. Un an plus tard. Bill Hodges, un flic à la retraite, reste obsédé par le massacre. Une lettre du tueur à la Mercedes va le sortir de la dépression et de l'ennui qui le guettent, le précipitant dans un redoutable jeu du chat et de la souris.



L'avis de Dup :

Je continue mes écoutes avec Audible vu que je passe toujours autant de temps au milieu de ma verdure. Ce coup-ci le deal était de chroniquer du Stephen King. J'en ai profité donc pour télécharger les deux précédentes sorties d'un de mes auteurs fétiches. Je précise ne pas avoir lu le pitch avant de démarrer cette écoute. 

Quelle n'a pas été ma surprise de découvrir un véritable thriller ! Exit l'horreur, exit le fantastique, le maître se frotte à cette autre littérature de genre que j'affectionne particulièrement. Et ma foi je dois dire que l'essai est transformé. 

Stephen King a le don pour nous faire apprécier très vite ses personnages. Ils prennent de suite corps devant nous, on sent tout de suite qu'on va les aimer. Et là, il envoie un taré au volant d'une Mercedes SL 500 qui vient faucher et écraser ceux avec qui on venait à peine de faire connaissance, d'autres aussi : huit morts, de nombreux blessés... Découvrir ce roman une semaine après l'attentat du 14 juillet à Nice a créé une affreuse résonance en moi. 

Nous suivons alors Bill Hodges, un vieux flic à la retraite. Il est seul et s'ennuie, les programmes télévisés le dépriment mais n'a rien d'autre à faire, hormis manger trop, manger gras et donc grossir. Sinon il ressasse les affaires non élucidées qu'il a dû laisser en plan en prenant sa retraite, dont celle de "Mr Mercedes" et son massacre. 

Puis en alternance, Brady, l'homme plus que perturbé qui a pris son pied il y a un an au volant de cette fameuse Mercedes. On découvre ce parfait employé modèle dans ses deux jobs à mi-temps, un homme arrangeant, charmant avec ses collègues, avec ses clients et le décalage ahurissant avec ses pensées. Le malaise est plus que prégnant lorsqu'on comprend la relation malsaine qu'il entretient avec son alcoolique de mère. 

Le piège de l'alternance fonctionne à merveille et c'est avec avidité que l'on suit ces deux personnages dont l'aspect psychologique est extrêmement bien fouillé. Les personnages secondaires aussi sont touchants, notamment Jérôme un jeune noir de 17 ans plein d'humour qui vient tondre la pelouse de Hodges pour se faire de l'argent de poche. Une improbable amitié va naître au cours de cette enquête qu'ils vont mener ensemble , Jérôme apportant des connaissances en matière de nouvelles technologies qui passent allègrement au-dessus de la tête de notre dinosaure de retraité. La palme d'or revient à Holly qui va venir former le troisième membre du trio peu orthodoxe d'enquêteurs. Holly c'est LE personnage totalement improbable, totalement inadapté dans tous les sens du terme, qui va apporter une touche de profondeur humaine énorme. Je n'en dirai pas plus, si ce n'est qu'Holly il faut vraiment la rencontrer. 

Ce jeu du chat et de la souris que vont mener Hodges et Brady dont les rôles eux aussi alternent est très bien mené par Stephen King qui arrive à distiller depuis le début une ambiance angoissante, stressante, malsaine,  Et le tout va crescendo plus on avance dans l'histoire. Car bien sûr Brady ne va pas s'en tenir à son premier massacre. Il planifie plus grand, plus gros, beaucoup plus mortel... Quant aux relations mère-fils, elles m'ont collé des frissons désagréables et nauséeux plus d'une fois.

J'ai beaucoup apprécié ce thriller que j'ai trouvé efficace et prenant. En revanche je dois avouer que si je l'avais abordé sans connaître l'auteur, jamais je n'aurais pu imaginer qu'il venait de Stephen King. Mais qu'importe, j'aime Stephen King, j'aime les thrillers, j'ai beaucoup aimé Mr Mercedes et j'en fais un coup de coeur.


Digression "post-chroniquale" :

En revanche mon bémol viendra plus du lecteur Antoine Tomé de ce livre audio. Autant ma première expérience avec le Fitzek était top, autant pour ce roman certains passages m'ont hérissé le poil. Ce lecteur qui avait une voix parfaite et posée, neutre comme il faut, il la travestissait lorsqu'il s'agissait de dialogues faisant intervenir des femmes et je dois dire que le rendu était franchement désagréable ! Selon moi, ce sont les dires de l'auteur qui doivent nous laisser imaginer les différents types de voix et non nous imposer une sonorité ainsi falsifiée et franchement grotesque. Ce lecteur de l'audio-livre m'a donc fait regretter de ne pas avoir lu moi-même ce roman. 
Sauf que je n'aurais pas pu le faire tout en jardinant... ok !
Sauf que je vais rempiler car je veux écouter la suite : Carnets noirs...


Et avec cette chronique je boucle la 5ème session de mon Challenge de la Licorne



THE SHAMER de Lene Kaaberbøl




Éditions Rageot
280 pages
14,90 euros


4ème de couv :

Certains font le mal sans ressentir aucune honte. Ils pillent. Volent. Tuent.
Alors on va chercher la Clairvoyante.
Dès qu'ils lui font face, ils ne peuvent plus cacher leurs méfaits ou les dissimuler aux autres...

Qui osera défier la Clairvoyante et la regarder dans les yeux ?


L'avis de Dup :

Dina en a ras-le-bol d'être la fille de sa mère ! Plus exactement d'avoir hérité de son regard et du don qui va avec. Déjà que dans le petit village de Birkene ne comprenant qu'une dizaine de maisons et moitié moins de fermes, il y a peu d'enfants de son âge, ceux-ci la fuient depuis peu. Et s'ils ne la fuient pas, ils la tolèrent mais surtout ne la regardent jamais dans les yeux. C'est très horripilant !

Ce don que Dina vit plutôt comme une malédiction est celui de la clairvoyance. Il force les gens qui croisent son regard à avouer tout ce qu'il a de mauvais en eux. Leurs faits, gestes et pensées sont alors scannés et exposés à voix haute... Les clairvoyantes sont donc traitées de sorcières et tenues à l'écart. Sauf lorsque leur don est requis pour résoudre des litiges, voir des enquêtes. 

C'est ainsi qu'on est venu réquisitionner Mélussina Tonnerre, la mère de Dina, la laissant seule avec son grand frère et sa petite sœur. Quelques jours passent, et ce n'est pas Mélussina qui ouvre la porte de la chaumière mais un cavalier, Drakan : sa mère l'appelle à ses côtés. Elle rejoint donc la cité de Dunark en équilibre précaire sur cet immense cheval, accrochée tant bien que mal à Drakan qui se soucie fort peu de son confort. Mais c'était un ignoble piège dans lequel Dina a foncé tête baissée. 

Je vous rassure, je ne spoile rien, je viens juste de vous résumer les trois premiers chapitres. À partir de là, tout s'enchaîne. Dina comprend l'étendue du complot qui se fomente au sein de la forteresse de Dunark. Elle va tout faire pour qu'éclate la vérité, mais aussi et surtout sauver sa mère retenue prisonnière par Drakan, le maître des dragons. 

Un univers féodal, des vilains dragons pas beaux et puants maintenus en captivité, le prince régnant, la veuve de son fils et ses deux enfants assassinés, le second fils Nicodemus accusé. Et au milieu de tout ça, un petit bout de bonne femme de dix ans, Dina, qui va se démener avec courage et obstination. Elle va découvrir également l'étendue de ses pouvoirs, ne pas s'en servir toujours à bon escient, apprendre de ses erreurs, découvrir la valeur d'une vraie amitié. Ce roman est plein de belles leçons. Le personnage principal de Dina est bien charismatique et plaira sans aucun doute aux pré-ados à qui ce roman est destiné. Pour l'adulte que je suis, je dois avouer que Dina comme tous les personnages m'ont paru très clichés. 

Il n'en reste pas moins que l'intrigue "tient bien la route" et que l'écriture de Lene Kaaberbøl est entraînante et fluide. Il plaira assurément et se lit très vite. Je précise d'ailleurs que même s'il s'agit du premier tome d'une trilogie, ce premier volume possède une véritable fin et peut se suffire à lui-même. À offrir donc sans hésiter à nos têtes blondes de 10 - 12 ans.

mercredi 27 juillet 2016

MÉMOIRE CACHÉE de Sebastian Fitzek






Auteur(s) : Sebastian Fitzek
Durée : 15 h 41 min 

Version intégrale | Livre audio




Le pitch :

Berlin, de nos jours. Un homme se réveille dans un abri sous le métro. Il a été blessé par balle à l'épaule. Il ne sait pas ce qu'il fait là. Il ne se rappelle pas qui il est. Seul indice, ce prénom tatoué dans la paume de sa main droite : Noah. C'est en découvrant, dans un journal, la photographie d'un tableau qu'il a un déclic ! Ce tableau, c'est lui qui l'a peint. Il décide alors de contacter la journaliste, prénommée Céline. À son côté, Noah recouvre peu à peu sa mémoire, pour le meilleur mais surtout pour le pire !




Digression "prè-chroniquale":

Avec les beaux jours, le beau temps, vient une de mes activités autre que la lecture qui me prend beaucoup de temps : le jardinage. Désherber, cercler, tailler, une autre activité prenante et solitaire, une passion malgré tout. Et voilà que nous est venu sur le blog une proposition de partenariat pour de la lecture audio avec Audible. Bonheur intégral pour moi, je vais pouvoir allier mes deux passions ! 
Pour cette première expérience, j'ai choisi d'écouter le livre audio d'un auteur dont je savais la plume accrocheuse, les intrigues prenantes et stressantes, au risque d'arracher mes pervenches plutôt que les liserons ou autres indésirables qui prolifèrent gaiement là où elles ne devraient pas. 
Je vais maintenant vous parler de ce roman, puis de cette expérience de lecture audio dans une digression post-chroniquale. 
Par ailleurs, je m'excuse par avance de la longueur de ma chronique, mais avec ce roman, je ne peux pas faire autrement !

L'avis de Dup :

Mémoire caché est un roman qui s'avale goulûment, frénétiquement même. Des chapitres cours, nerveux, des points de vue de nombreux personnages intervenant en accélèrent encore la lecture. Une intrigue magistrale se met en place et monte crescendo au cours des trois grandes parties que constitue ce roman. 

Plusieurs personnages je disais, mais le principal reste Noah et c'est surtout derrière lui que l'on embarque. On le découvre à Berlin, SDF, en compagnie d'Oscar un autre SDF qui l'a recueilli alors qu'il était blessé par balle et amnésique. Comme il avait ce prénom tatoué dans la paume de la main, ils lui ont attribué, mais il ne lui évoque rien du tout. Alors que le monde entier est en pleine frénésie pour se procurer le vaccin qui immuniserait contre la pandémie menaçante que constitue alors la grippe de Manille, les préoccupations de nos deux SDF sont loin de tout ça. Il leur faut trouver un hébergement pour la nuit hivernale à venir qui promet d'être mortelle. En installant leurs "lits" dans un coin d'une des stations de métro ouverte pour les sans-abris, Noah repère dans un journal qui devait lui tenir lieu de couverture, un tableau assorti d'une annonce : On recherche le peintre. Il le sait, c'est lui qui a peint ça. Il va dépenser les dernières économies d'Oscar pour contacter le numéro de téléphone à New York où il tombera sur Céline, journaliste. 

Et la machine infernale s'enclenche. On leur réserve deux chambres dans le plus chic hôtel de Berlin, là on le traite avec respect et déférence, en l'appelant Pr Mortens. Un tueur à gage va lui être expédié, Noah se trouve alors des réflexe de tueur équivalents pour le neutraliser. Il a du mal à faire concorder ces deux facettes de lui-même... Mais des bribes de mémoire lui reviennent, toutes plus sombres les unes que les autres. Il doit se rendre à Amsterdam. Il est toujours tracé par Artman, un autre tueur. Et... stop je ne vais pas tout vous raconter tout de même ! Non juste vous dire : IL FAUT LE LIRE. 

Basé sur une théorie du complot, une poignée de dirigeants de ce monde, en parallèle aux décisions prises par la dernière conférence de Bilderberg, ont décidé d'éradiquer le principal problème de la planète : la surpopulation. Un génocide programmé, enclenché et Noah en serait la pièce maîtresse.

Ce roman n'a que des points forts. Une construction remarquable qui sert une intrigue bien ficelée et des idées véhiculées percutantes (j'y reviendrai via une citation de l'auteur). Les personnages, nombreux et tous extrêmement fouillés. Outre Noah et Oscar, on a Artman dont le secret professionnel obligé pèse énormément, il se sent seul. Céline, enceinte, nouvellement célibataire, future chômeuse, et qui vient de comprendre que "petit point" niché dans son utérus à de graves soucis de développement. Il y a Alicia aussi, qui vit dans le cloaque qui tient lieu de bidonville autour de l'immense décharge publique de Manille aux Philippines. Elle y élève seule Jay, 7 ans et Noël un nourrisson de quelques jours. Tous, je dis bien tous, sont attachants et poignants. 

En guise de conclusion je vais vous mettre quelques extraits issus de la postface de l'auteur. J'aurais aimé la mettre en entier mais ma chronique est déjà bien trop longue. Vous comprendrez ainsi aisément la portée de ce roman.

Le provoquant sociologue suisse Jean Ziegler a raison quand il affirme, dans ce contexte, que chaque enfant qui meurt de faim est assassiné. Mais je ne souhaite pas avec ce roman pousser un cri d’indignation ni vous reprocher une quelconque complicité par omission. De même que j’admire et respecte les milliers de bénévoles des organisations humanitaires du monde entier, j’ai la plus entière compréhension pour l’inaction impuissante de la majorité d’entre nous. 
Nous vivons dans un système complètement schizophrène. Un jour on nous dit de mieux isoler nos maisons pour économiser de l’énergie, le lendemain de mettre à la casse notre voiture encore en parfait état de marche pour relancer l’économie. A tel moment on nous recommande de ne plus acheter de T-shirts fabriqués au Bangladesh, puis on nous explique que, sans ce revenu, les couturières de ces usines seraient encore plus pauvres. Enfin, les politiciens nous incitent à économiser pour nos retraites, mais les taux directeurs sont abaissés afin que des crédits bon marché nous poussent à emprunter pour acquérir toujours plus de choses dont nous n’avons pas besoin.
Je sais que 2.400 litres d’eau sont nécessaire à la fabrication d’un hamburger et pourtant il m’arrive d’en manger, même si c’est avec mauvaise conscience. Depuis peu , j’achète mes aliments chez des fermiers sélectionnés, je tâche de privilégier les magasins fair trade et j’essaie de réduire un peu mon empreinte écologique. Mais cela ne m’est possible, comme bon nombre de mes autres efforts, que grâce au succès de mes livres, qui me permettent de mener une vie privilégiée. Je n’ai donc pas écrit ce roman pour donner de leçon à qui que ce soit, même si on pourrait en avoir l’impression. Je serais le premier à recevoir la pierre que je jetterais.

Digression "post-chroniquale" : 

Premier essai... transformé ! 
J'avais peur d'écouter un lecteur mettant trop d'intonation pour souligner les dialogues et les interjections. Ce ne fut pas le cas. 
J'ai réussi à m'immerger complètement dans cette histoire, réellement comme si JE la lisais. L'application Audible chargée sur mon smartphone est super bien faite, d'utilisation très facile : j'y arrive... je pense donc que c'est adapté à tout le monde, n'est-ce-pas Phooka ? :)) 
J'adhère complètement, c'est un moyen de lecture complémentaire bien agréable pour moi.

PS : Seul bémol, prendre des notes, notamment des extraits... c'est pas cool :P



Et hop, je rajoute cette chronique à mon challenge de la Licorne !


dimanche 24 juillet 2016

Sur les traces de Fallout new Vegas et de Pawn Stars


De passage à  Las Vegas, je vous épargne les poncifs du genre et on se concentre sur les 'trucs à  la con' que nous adorons faire ...

Pawn stars vous connaissez ?
Rick, the old man et Chum.
Nous sommes bien sûr aller visiter la boutique sur Las Vegas boulevard.
Nous avons raté  Chumli de peu, dommage.
La boutique est comme dans la série.





Puis pour faire plaisir au loustic nous sommes allés sur les traces de Fallout New Vegas,  manger un bout à Goodspring au Pioneer Saloon, paumé au milieu du désert, puis a Prime où nous etions déjà allés mais que le gamin voulait revoir
Dedicace au gamers donc ...














Ensuite nous quitons la ville, direction Zion. La suite dimanche prochain .. ou pas ! 



vendredi 22 juillet 2016

SANCTUAIRES de Clélie Avit






 Les Messagers des Vents tome 2



Editions MSK
(JCLattes)
Sortie le 008/06/2016
480 pages
18 euros




Les Vents, les Terres, les Eaux, les Feux. Quatre éléments, quatre territoires : la Friyie. Quand Ériana a rencontré Setrian, jeune messager des Vents, elle ignorait tout du danger qui menaçait le pays , de la prophétie qui la désignait et des pouvoirs qu’elle détenait. Il aura fallu une quête en territoire des Terres, un périple riche d’aventures et de rencontres, et l’affrontement avec les membres du terrible Velpa pour qu’elle s’accepte comme celle qui sauvera les quatre communautés.

Après les Messagers des Vents, Clélie Avit continue avec Sanctuaires sa généreuse et palpitante saga fantastique.

Ériana, affranchie de ses doutes et sous la précieuse protection de Setrian, poursuit la vaste mission qu’elle s’est vue confier par le conseil des Vents. Pour cela, elle va au-devant des quatre éléments, de son apprentissage et des connaissances révélées par la prophétie. Mais la prophétie n’en finit pas de dévoiler ses secrets, et les obstacles seront au rendez-vous, plus douloureux que jamais.

Chaos, jeux de pouvoir, disparitions, nouvelles rencontres, alliances inattendues… Dans de nouveaux décors, dont la prestigieuse cité des Eaux, ce deuxième tome des Messagers des Vents mêle habilement les péripéties pour accrocher son lecteur et ne plus le lâcher. Tout en glissant parfois vers un côté sombre et mélancolique, qui n’en étoffe que davantage des personnages auxquels le lecteur s’est vivement attaché.



L'avis de Phooka:



Je trouvais le tome 1  en demi-teinte, essentiellement à cause d'un début vraiment trop long, mais la seconde moitié du roman avait su me convaincre et c'est avec confiance que je me suis lancée dans la lecture de ce second opus. Je n'ai pas regretté mon choix !

C'est avec vraiment beaucoup de plaisir que l'on retrouve nos héros. Les deux groupes créés précédemment suivent chacun leur chemin. Groupes qui vont eux -même se scinder. Du coup, on retrouve le schéma classique, mais efficace, de l’alternance des chapitres qui apporte beaucoup de rythme à la lecture.
Et du rythme il y en a, bien plus que dans le premier opus. On connait déjà les principaux personnages et si certains s'y ajoutent, ils sont intégrés dans le fil naturel du récit. On a l'impression que l'auteur a vraiment pris les choses en main. Comme si elle avait enfin trouvé le bon rythme. Ça se ressent dans le plaisir qu'on éprouve à la lecture.
Même si le comportement de Setrian pourra paraître étrange, au moins son rôle n'est pas "linéaire". Le destin d'Eriana est loin d'être serein lui aussi. Mais surtout, l'auteur nous assène quelques coup de théâtre pas "piqués des vers"; J'en ai été très surprise car franchement je m'attendais justement à un récit "classique" et sans réel retournement de situation. Grossière erreur de ma part et vous m'en voyez ravie !

Ce que je trouve étonnant dans le récit en lui même c'est que c'est à la fois "prenant" et "tranquille". Oui je sais c'est bizarre ce que je raconte. C'est "tranquille" parce qu'on suit le cheminement de nos petits groupes dans la plus pure lignée des romans initiatiques, et on a largement le temps d'apprendre à connaître les différents protagonistes et de partager leur vie de tous les jours. Mais comme cette "vie de tous les jours" est pleine d'aventure, de suspense, de découvertes et de retournements de situation, on a le côté "prenant" sans avoir cette impression de roman qui file à cent à l'heure. 
Je ne suis pas sûre d'être claire sur ce coup là, mais je tiens pourtant à expliquer ce rythme car pour moi, il fait le charme du livre. 

A ceci, bien sûr, il faut ajouter la magie de l'eau cette fois-ci, qui à l'instar de celle de la terre et du vent, est tout aussi exotique et fascinante. Sans oublier, bien sûr Arden, la cité des eaux, absolument somptueuse. Et ce qui est aussi une belle réussite de Clélie Avit, c'est que, à première vue on pourrait penser que la cité des eaux, qui ressemble fort à la cité des vents, fonctionne grosso modo de la même façon (même hiérarchie, mêmes obligations etc ...). Mais là où est le coup de maître c'est que justement, si la structure est à peu près la même, le fonctionnement en est très différent et c'est un vrai régal pour le lecteur de le découvrir.

Voilà donc un tome 2 qui a su me convaincre. L'univers créé par l'auteur est vaste et riche, les personnages sont très attachants, le récit est bourré de suspense et d'émotion. L'auteur ne cède pas à la facilité et prend vraiment son histoire à bras le corps. Bref, une très bonne suite. Reste à attendre le tome 3!





jeudi 21 juillet 2016

LE CONDOR de Stig Holmås




Sonatine + Éditions 
255 pages
13 euros


4ème de couv :



William Malcolm Openshaw, poète, intellectuel et amoureux des oiseaux, a eu plusieurs vies. Depuis des années, il erre aux quatre coins du globe, de Mexico à Tanger, en passant par Bogotá et Le Caire, ne fréquentant que les quartiers les plus pauvres. « Je me contente de traverser les villes, de les quitter en marchant lentement. » William est un homme hanté par de mystérieuses tragédies, par des secrets dont il ne parle pas. Au Portugal, à la suite d’une agression, il fait la connaissance de Henry Richardson, attaché à l’ambassade britannique de Lisbonne. Ce dernier semble en savoir beaucoup sur le passé de William, beaucoup trop même. Sur les disparitions, les morts violentes, les ombres et les trahisons qui ont jalonné son parcours. Richardson a peut-être même les réponses aux questions que se pose William sur sa vie d’avant, sur la tragédie qui a brisé son existence. Une véritable partie d’échecs à base de manipulations s’engage alors entre les deux hommes, dont l’issue ne peut être que tragique.



L'avis de l'éditeur :

Stig Holmås, tout en nous proposant une intrigue d’une efficacité absolue, s’interroge sur la condition humaine avec une lucidité déchirante. La beauté et la puissance de l’écriture ne font qu’ajouter à l’éclat de cette perle noire, publiée en 1991, et considérée par beaucoup d’amateurs comme un chef-d’œuvre absolu du genre.

Stig Holmås est né en 1946 à Bergen. Publié précédemment en France dans la «Série noire», en 2001, Le Condor est son premier roman.




L'avis de Dup :


Je ne remercierai jamais assez Pierre Faverolle pour ce commentaire enflammé écrit sur Facebook : « Incroyable, inclassable, extraordinaire... et je n'en suis qu'à la moitié ! ». Voilà, il a suffi de cette phrase pour que je commande illico ce livre, sans même attendre sa chronique. Et vous savez quoi ? Je ne retire aucun des adjectifs alignés, ce livre est vraiment incroyable et inclassable et extraordinaire. Énorme coup de cœur ! 

Je remercie également les Éditions Sonatine d'avoir réédité ce roman et de le mettre à nouveau au devant de la scène, sinon je serai passée à côté de cette perle rare. C'est également pour cela que j'ai rajouté après le pitch le blabla de l'éditeur présent sur la 4ème de couv car il met bien en lumière qui est ce monsieur Holmås.

D'une profonde noirceur, Stig Holmås nous compte la vie de William Openshaw, poète adulé et passionné d'oiseaux, qui enfouit aujourd'hui sa vie en errant de bidonvilles en bas-fonds, dans toutes les grandes capitales du monde. Il côtoie la misère, partage la souffrance et les privations. Il y noie dans l'alcool son passé et ses erreurs. Bon ok, dis comme cela ça n'a rien de tentant n'est-ce-pas ? 

Et pourtant, si vous saviez comme l'écriture de ce roman est belle, profonde, et prenante. Le démarrage est un peu déstabilisant, mais passé les premiers paragraphes, et non les chapitres car il n'y en a pas, on est pris par ce récit. Je ne parlerai pas d'intrigue à proprement parler car il s'agit là du récit d'une vie, tout simplement. 

Mais la construction en est tout bonnement remarquable. À la manière d'un immense puzzle, l'auteur nous fait aborder par petites touches toutes les périodes de la vie de cet homme. C'est un va-et-vient permanent, prenant, captivant, nous laissant sans cesse en attente d'en savoir plus. Un récit incroyablement fort et hypnotique. 

Je pourrais vous faire une liste de tout ce qu'il a fait, de tout ce qu'il a vécu ce William Openshaw, mais je sais que sous ma plume cela sera lassant et risquerait juste de vous éloigner de ce bijou qu'il faut absolument découvrir. Cet homme passionné, passionnant on veut l'aimer. On cherche page après page des raisons de l'aimer malgré... oui malgré toutes les circonstances aggravantes que l'on découvre. Mais il a tellement de circonstances atténuantes mon dieu ! 

On a le cœur de plus en plus compressé dans un étau, mais on survit quand même jusqu'à la fin ou presque. La dernière phrase est le coup de grâce, le dernier tour de vis qui m'a fait exploser le coeur et jeter ce livre loin de moi... Mais je l'ai vite repris et rangé car je sais déjà qu'il fera partie des rares livres que j'aurai plaisir à relire, encore et encore. C'est magistral, vraiment. À lire de toute urgence !

Pour lire la chronique de l'ami Pierre, désormais sortie, c'est ICI.




Deuxième participation au challenge de la Licorne
pour la session 5



mercredi 20 juillet 2016

LES TRAQUEURS de Antoine Bombrun






La 4ème de couv :)





L'avis de Dup :


Une fois n'est pas coutume, je vais aujourd'hui vous parler d'un roman auto-édité, qui plus est un premier roman. Nous avons été contacté par une start-up nommé L'Attelage qui regroupe des écrivains en comité et se sont donnés une ligne éditoriale que je vous invite à découvrir en suivant le lien. Pour ma part, plus que tous ces détails, c'est le pitch de ce roman qui m'a attiré. Il est bien pensé et intrigant à souhait.

Trois traqueurs se déplacent le plus discrètement possible dans le pays dévasté de Lhun. Qu'ils marchent tête basse ou tête haute, elle reste masquée par leur capuche qui cache leur regard. Tous les trois ont les yeux blancs, le "regard immaculé" qui déchaîne la haine ou la peur autour d'eux. Car ce sont des marqués : leur chemin a croisé celui du Nécromancien. 

Il y a le grand Rhyunâr, l'épéiste, l'homme au yatagan. Thief, le vieillard râleur et sa besace. Et puis il y a "toi, Shiujih qui vit, dors et pisses avec ton arbalète toujours sous la main". Je dis qu'ils sont trois, mais en fait ils sont quatre car il y a le narrateur. Or ce personnage qui va nous conter toute la quête que mène nos trois compères, on ne sait rien de lui. On sait juste qu'il est là, qu'il observe, juge, condamne et nous narre l'histoire. De plus, il utilise le "tu" et s'adresse uniquement à Shiujih, ce qui donne un style tout à fait particulier à ce roman.
«Tu sens l'odeur des arbres, de la plaine, de la fumée au loin, ainsi qu'un relent salé. La fragrance de la mer. Tes mains serrent ton arbalète un peu convulsivement. Ça me donne envie de te secouer un bon coup, mais je ne peux pas me le permettre. Il faut que je reste tapi en silence, invisible.»

L'auteur va même réussir à ne dévoiler son identité que vers la fin du roman et cette interrogation permanente accentue l'envie d'aller au bout de cette aventure pour comprendre. Pourtant il n'avait pas besoin de ça, loin de là. Cette quête, cette vengeance qui anime nos trois compères à la recherche du Nécromancien est déjà bien passionnante. Elle est également suffisamment pleine d'action, de bagarres, de batailles, de magie noire et de démons pour en faire un véritable page-turner. 

Elle reste néanmoins bien sombre cette quête et il faut parfois s'accrocher. Le narrateur fait de Shiujih le héros de cette traque. Un héros bien minable au départ que l'on va voir évoluer au gré des événements tragiques qu'il affronte. Je dois préciser que ce n'est pas une lecture tout public quand même, certaines scènes sont particulièrement gore. On parle de nécromancie là, donc gangrène, nécrose et putréfaction sont au rendez-vous ! Néanmoins j'avoue que ces scènes vont très bien avec le contexte : on est bien dans de la dark fantasy. 

Une écriture soignée avec un vocabulaire riche et bien adapté nous transporte dans cet univers moyenâgeux. Les injonctions et les jurons qui parsèment les dialogues restent résolument modernes et créent un décalage que personnellement j'adore. Bref ces Traqueurs sont une belle découverte que je vous conseille chaudement. Un roman de dark fantasy au style bien particulier qui vaut le détour.



mardi 19 juillet 2016

Résultats de partenariat spécial "mois de" Adrien Tomas



Avant de dévoiler les bénéficiaires de ce partenariat
NOUS TENONS À VOUS REMERCIER TOUS 
pour votre enthousiasme et votre envie de participer. 
Nous ne pouvions hélas pas répondre positivement 
à tout le monde et le plouf-plouf a été cruellement douloureux.

Nous espérons que l'on vous retrouvera tous malgré tout en septembre !


Recevront donc 

LE ROYAUME RÊVÉ








LA GESTE DU SIXIÈME ROYAUME





Nous vous souhaitons à tous de bonnes vacances et de bonnes lectures estivales.
À tout bientôt !


Et un grand merci aux Éditions Mnémos pour ce partenariat généreux !


PS : Nous rappelons que nous ne sommes pas responsable des aléas de la Poste...

lundi 18 juillet 2016

LA VOLEUSE DE SECRETS de Brenda Drake



Library Jumpers tome 1







Editions Lumen
Sortie le 02 juin 2016
492 pages
15 euros


Fervente lectrice, passionnée d'escrime, Gianna a perdu sa mère à l'âge de quatre ans. Elle visite pour la première fois l'Athenæum, l'une des plus anciennes bibliothèques de Boston, accompagnée de ses deux meilleurs amis, quand elle remarque le comportement étrange d'un mystérieux jeune homme. L'inconnu finit même par se volatiliser presque sous ses yeux, penché sur un volume des Plus Belles Bibliothèques du monde. Lorsque Gia s'approche à son tour de l'ouvrage, elle se retrouve transportée de l'autre côté du globe, à Paris, dans une magnifique salle de lecture dont une bête menaçante arpente les rayons, comme elle ne tarde pas à le réaliser avec un frisson... 

La jeune fille vient de mettre le doigt dans un terrible engrenage : une poignée de bibliothèques anciennes mène en effet vers un monde où magiciens, sorcières et créatures surnaturelles s'affrontent depuis des siècles pour éviter que le peuple des hommes ne découvre leur existence. Gia apprend qu'elle est l'une des Sentinelles chargées de protéger cette société secrète. Pire encore, qu'elle est la fille de deux de ces guerriers d'exception – une union interdite – et que sa naissance n'est autre que le présage de la fin du monde. Une malédiction qui lui interdit absolument de se rapprocher d'Arik, l'inconnu aux yeux noirs de l'Athenæum... 

Bestiaire fabuleux, objets magiques, voyage entre les univers... Jamais plus vous ne regarderez un vieux livre poussiéreux du même œil ! Avec La Voleuse de secrets, Brenda Drake vous entraîne à la suite de Gia dans une quête initiatique périlleuse et riche en révélations.





L'avis de Phooka:




Rhoo que j'ai aimé ma lecture. Parfait pour démarrer l'été: léger, prenant et bourré de suspense, voilà un livre à mettre entre toutes les mains.

Pourtant dans les tous premiers chapitres Gia, l’héroïne, m'agaçait un peu. Elle se retrouve transportée on ne sait où par l'intermédiaire d'un livre et c'est à peine si elle sursaute. Non j'exagère, elle se pose des questions et surtout elle en pose beaucoup autour d'elle mais ne s'offusque pas de ne pas avoir de réponses. Bon, avouons-le, c'est surtout parce que moi lectrice, je voulais comprendre et j'ai dû prendre mon mal en patience.
Parce que avouez quand même que c'est étrange cette histoire, non? 
Gia est une jeune fille, orpheline de mère et qui vit avec son père Pop qu'elle adore. Elle a un copain et une copine avec qui elle passe son temps, Nick et Afton. Une vie plutôt tranquille et studieuse.
Un beau jour, ils décident de changer de bibliothèque pour aller réviser leurs cours et entrent dans la plus ancienne bibliothèque de Boston: l'Athenæum.

Là, par hasard Gia, croise un très beau jeune homme (ben oui hein, quand même!) qui s'évapore quasiment sous ses yeux. Essayant de comprendre ce qui s'est passé, elle découvre un livre recensant les plus belles bibliothèques du monde. Ce livre sera la porte vers l'aventure, la fantasy et l'amour.
En effet , il permet de voyager de bibliothèques en bibliothèques, mais aussi de franchir les barrières vers un autre monde où les méduses croisent les chien-garous et toutes sortes de bestioles. Pour en garder les entrées, existent les sentinelles ...

Je ne vais pas vous en dire plus sur ce monde, car l'un des grands plaisirs de ce premier opus est justement de le découvrir. A la suite de Gia, et à son rythme, nous allons connaître les différentes créatures peuplant ce monde, comprendre les raisons de leurs existences cachées. Nous allons aussi découvrir le terrible danger qui guette aussi bien les créatures que les humains. Et bien sûr, nous allons comprendre qui est réellement Gia et le rôle qu'elle a à jouer dans cette histoire. Gia ... et d'autres bien sûr!

Les personnages sont réussis et attachants, dans notre monde ou dans l'autre. Gia découvre petit à petit ses propres secrets et ceux des gens qui l'entourent. Les surprises sont nombreuses et l'action est omniprésente. Une petite touche d'amûûûr est bien sûr présente, mais juste ce qu'il faut. Ce n'est pas, et de loin, le thème principal du récit. Magie, combats et révélations en sont les maîtres mots. Les chapitres sont courts et le rythme soutenu. Du coup, le livre se dévore à toute allure et les quasi 500 pages se lisent très vite. Bien qu'attendant la suite avec impatience, pas de sentiment de frustration car un épisode est bouclé et le roman ne finit pas sur un cliffhanger, ce que j'apprécie énormément.

Bref, La voleuse de secrets est un roman jeunesse sacrément bien ficelé qui m'a tenue en haleine de bout en bout et que j'ai lu avec beaucoup de plaisir. L'univers de l'auteur tient la route et son amour des livres ne fait aucun doute. De quoi passer son été à fureter dans les bibliothèques de toutes les villes où nous passerons.



La fameuse bibliothèque l'Athenæum de Boston

vendredi 15 juillet 2016

Bilan et fin du 15/15 d'Emmanuel Chastellière






Nous sommes le 15 juillet et c'est la quille pour Emmanuel, on va pouvoir le relâcher ! :))
Mais pas avant de le remercier chaleureusement pour sa présence et sa disponibilité sans faille. Il nous a même devancées parfois !
Ce fut encore une fois un mois2 passionnant et instructif. C'est bien les auteurs à plusieurs casquettes !

Petit bilan avant de lui laisser la parole pour le mot de la fin :

Ce 15/15 aura donné lieu à quatre pages d'itv participative :


Son roman Le village aura récolté à ce jour presque toutes les chroniques attendues :




MarieJuliet


Et maintenant on lui laisse la main pour le mot de la fin !



Bonjour à toutes et tous ! 

Qui a dit que le temps passait vite ? 
Je ne sais pas, mais dans la série "clichés", je suis bien parti pour décrocher le premier prix avec une telle phrase d'accroche ! J'espère que vous aurez trouvé mon roman ou mes réponses un peu plus originaux que ça !
Nous voilà donc déjà sur le point de conclure ce mois2. 
Sans surprise et malgré un soupçon d'appréhension de ma part, j'ai pris beaucoup de plaisir à répondre à vos questions. Qu'elles concernent l'intrigue du roman, ses personnages, sa fin, mon métier de traducteur... Bon, finalement, nous n'aurons pas discuté d’astronomie ou de tatouages, mais, qui sait, une prochaine fois peut-être ? En tout cas, je suis fier de constater que le roman vous a plu et que pour certain(e)s d'entre vous ce fut même un coup de cœur. J'ose croire que mes futurs projets, annoncés ou pas, seront à la hauteur de vos potentielles attentes ! 

Au sujet du village lui-même, sa vie n'est heureusement pas finie ! Finalement, cela fait à peine un mois que le roman est disponible pour de bon. Et je crois qu'il devra aussi compter sur le bouche-à-oreille pour continuer sa route. D’ailleurs, justement, si ça vous dit de le soutenir en en parlant autour de vous, il existe suffisamment de plateformes d'avis de lectures pour ne pas n'en citer qu'une ! ;-) Ensuite, je l'ai mentionné ailleurs, mais je devrais sous peu proposer quelques "scènes coupées" sur mon site, notamment deux interludes. Il me semble que ceux-ci ont souvent beaucoup intrigué les lecteurs, donc ce sera une manière pour vous d'en apprendre davantage sur cet univers, si ça vous dit !  Et si vous souhaitez garder le contact au-delà de ce mois, n'hésitez pas, ça me fera plaisir ! Outre mon site déjà mentionné et forcément plus personnel qu'Elbakin.net, vous pouvez jeter un œil ou me suivre sur mon compte Twitter https://twitter.com/Gillossen ou Facebook https://www.facebook.com/emmanuel.chastelliere par exemple. :-)  
Enfin, comment conclure sans remercier bien bas Phooka et Dup, pour leur confiance, leur enthousiasme et leur investissement sans faille dans ce partenariat ! Moi qui à la base les avais contactées uniquement pour leur proposer de chroniquer Le Village, j'ai été touché de les voir faire confiance à un auteur débutant. 
Finalement, dans la vie, il faut oser. :-)
mercredi 13 juillet 2016

Partenariat spécial le "mois de" Adrien Tomas



PARTENARIAT COMPLET !


Les Éditions Mnémos sont à nos côtés pour vous proposer un partenariat 
du feu de Dieu qui accompagnera ce Mois2 !



6 exemplaires du tout prochain roman d'Adrien Tomas 
Le Royaume rêvé
qui sortira en août 2016



304 pages


Le pitch :

Ils sont les héritiers des clans nordiques.
Ils rêvent d’unifier et de pacifier leurs terres.
Cet espoir se transformera-t-il en cauchemar ?

Voici la geste des jeunes héritiers des clans du Nord et de leurs compagnons. Voici la geste des princes otages, de celles et ceux qui ont pour projet d’unifier les marches du Gel pour en faire leur royaume rêvé, puissant, sûr et juste, gouverné avec sagesse.

Mais leur chemin vers cette quête sera semé d’embûches : le respect du peuple s’arrache dans le sang et les larmes, et la victoire sur leurs ennemis demandera de grands sacrifices. Lorsque le Nord, déjà affaibli par les querelles des Quatre Citadelles, devient la cible des mandragores, redoutables créatures issues des sombres enchantements des Elfes, le doute n’est plus permis : ils sont la dernière chance de survie des marches du Gel. Pour les combattre, les lames, le verbe et la magie seront leurs seules armes.


3 exemplaires de 
La geste du sixième royaume
édition prestige


Le pitch et la chronique ICI





Pour postuler à ce partenariat, il suffit d'un mail, si vous êtes ok avec les règles.


LE MAIL :

adresse : lemoisde[at]gmail[point]com
intitulé : partenariat le mois de Adrien Tomas
avec :
* l'adresse de votre blog
* votre pseudo, si vous en avez un sur livraddict/facebook/bit-lit.com/google+ etc..
* votre nom et adresse 


Les résultats du partenariat seront annoncés dans un billet dans les jours qui suivent. Nous ne prévenons pas les bénéficiaires par e-mail.

LES RÈGLES :

* Nous envoyer un mail pour annoncer que vous avez bien reçu le livre.

* Lire et chroniquer ce roman au plus tard le 25 septembre 2016, avec les liens vers Bookenstock dans votre chronique , et nous envoyer votre lien également.

* Annoncer le Mois de Adrien Tomas sur votre blog au début du mois de septembre.

* Venir participer au Mois d'Adrien en posant plusieurs questions (ou commentaires) pendant son "Mois de ...".


Le partenariat restera ouvert plusieurs jours. Notre choix se basera sur des critères totalement subjectifs tels le "plouf plouf" ou le "choipeau" voire même le "ça sera toi qui ..."






PARTENARIAT COMPLET !
Les résultats tout bientôt ;)