Et donc sélectionnés pour le GpP de 2026
Et donc sélectionnés pour le GpP de 2026
L'intrigue prend clairement de l'ampleur, et si le début de ce deuxième tome comporte quelques petites longueurs, le dernier tiers du roman est captivant. La fin de cet opus ouvre la porte à un troisième tome qui s'annonce passionnant. Tout est en place pour un final monstrueux. Les deux camps sont à leur apogée en termes de puissance, et le choc va faire mal, c'est certain. Bref, vivement la suite !
Le titre de cet audio prend toute sa signification dès les premiers chapitres. Une malédiction menace le monde des mortels aussi bien que celui des faes, et pour Ceph (petit nom de Josephine...) cela se traduit en premier lieu par une brume opaque recouvrant tous les bois autour de son village. Mais ce n'est encore rien en comparaison de ce qui est capable de surgir de ces brumes. Des horreurs appelées "malfaisants", des sortes de chauve-souris gigantesques vidant leurs proies de leur sang.
Et pourtant, Ceph doit y aller, pour chasser et nourrir sa famille depuis que tous les hommes de la maison ont été réquisitionnés de force pour combattre à la brèche entre les royaumes. Ceph est en rébellion contre le baron qui dirige leurs terres, contre les faes qui utilisent les hommes comme chair à canon, contre...et bien beaucoup de choses. Alors quand un grand ponte fae vient dans leur village pour spoiler sa famille d'un artefact magique appartenant à son grand-père et dont elle ignorait l'existence, c'est la goutte d'eau qui va faire déborder le vase. Elle s'enfuit avec, sera rattrapée et se retrouvera catapultée dans le monde des faes.
Et je vais arrêter de causer sinon je vais tout vous raconter ! Là, ce n'était que les tous premiers chapitres. J'ai beaucoup apprécié mon écoute, même si je dois reconnaître que le récit de Barbara Kloss est une romantasy archi-classique. Encore un cas où le passage à l'audio sublime un texte. Stéphanie Moussu incarne parfaitement la Ceph rebelle et forte en caractère. Elle ne force pas sa voix pour interpréter les personnages masculins et pourtant on reconnait tout de suite parmi eux le prince Alder lorsqu'elle lui prête sa voix, et ça j'adore.
La romance arrive très vite dans le récit par le biais d'un refus à voir l'évidence du coup de foudre... et transforme le tout en un très long slow slow burn. D'autant qu'au début le fameux prince est présenté comme le méchant bad boy de service, et notre Ceph une blanche colombe dans ce domaine. Mais entre l'attirance entre ces deux-là et la proximité forcée, la romance est toute tracée.
L'intrigue placée sur la libération de la malédiction sera relativement linéaire, one shot oblige. Cependant l'univers est bien décrit, l'omniprésence des bois rajoutée à celle de cette malédiction créant une ambiance sombre et détaillée qui à elle seule maintient une tension tout du long du récit.
Les bois maudits ont été pour moi la découverte de la plume assez poétique de Barbara Kloss, mais surtout celle d'une narratrice talentueuse, Stéphanie Moussu, que je rajoute à ma liste de plus en plus longue dans ce domaine !
* service de presse Netgalley *
Plaisir intense de retrouver la plume si singulière de Pascale Quiviger. Si j'ai lu les quatre tomes du Royaume de Pierre d'Angle (voir les liens en bas de chronique), le suivant m'avait échappé : La dernière saison de Selim. J'ai obtenu H Mort ou Vif grâce au Masse Critique de Babelio et je les en remercie vivement pour ce coup de cœur.
Si j'ai bien compris, La dernière saison de Selim parle du voyage d'Esmée et de Mercenaire au pays natal de ce dernier. Deux personnages croisés et appréciés dans la série d'origine. Esmée était la cavalière intrépide et courageuse qui faisait office de messagère pour la couronne de Pierre d'Angle, quant à Mercenaire, Arash de son vrai nom, c'était une sorte de consultant des grands de ce monde, offrant ses services, fort coûteux d'ailleurs.
Ces deux romans ne font donc pas partie de la saga du Royaume de Pierre d'Angle, mais indubitablement ils constituent une suite logique et je conseillerai vivement de les découvrir dans l'ordre de parution. Vous ne regretterez pas mon conseil tant ils sont tous délicieux !
Esmée et Mercenaire reviennent donc vers Pierre d'Angle, mais ont prévu un arrêt avant, au royaume de Bergerac où le roi Fénélon les a invités. Mais finalement, au lieu de trouver le roi, c'est le notaire du roi qu'ils rencontrent. Le très vieux Fénélon vient de décéder et a nommé Mercenaire exécuteur testamentaire.
En lieu et place de Geneviève, à qui aurait dû échoir le trône, Fénélon le somme de couronner H, l'enfant de sa fille aînée Gaëlle, morte en couche il y a 27 ans. Le seul problème c'est que H a été déclaré mort-né quelques heures après sa naissance... Et pour corser le tout, il n'a que dix jours, date butoir incontournable, le trône ne pouvant rester vacant plus longtemps.
Avec Esmée en tandem, ils vont se lancer à corps perdu dans la recherche de H, non seulement pour respecter les volontés du défunt, mais aussi pour éviter que le trône n'échoie à Geneviève, à la demande de cette dernière car elle se sait atteinte d'une maladie incurable, elle est faible et hautement manipulable par son détestable mari aux dents longues, le baron Noir.
Le roman est saucissonné en tranches de jours de l'Interrègne. Les chapitres, en heures et lieux où se situe l'action. L'ensemble est dynamique et constitue un excellent moteur de lecture... si tant est qu'il y en ait besoin. Ce qui n'est absolument pas le cas tant ce récit est addictif et passionnant.
En plus, grosse surprise qui m'a fait le choc d'un coup de coeur en voyant apparaître dans le récit Lysandre, le môme si attachant issu des bas-fonds de Bergerac et pris sous l'aile de Thibault, alors prince de Pierre d'Angle, pas encore roi, dans le tome 1. Lysandre que l'on a suivi et aimé durant les quatre tomes, est aujourd'hui le jeune ambassadeur de la toute nouvelle république de Pierre d'Angle ! Encore une raison de lire les romans de Pascale Quiviger dans l'ordre de parution !
Ce roman de H mort ou vif est un régal. On a toujours ce mélange de fantastique et d'horreur, une enquête bien emberlificotée, et Mercenaire oblige, de profondes réflexions logiques sous forme de listes. La plume de Pascale Quiviger est toujours aussi gentiment caustique, ça tacle à tout va sur tous les sujets et j'adore ça ! De belles surprises sont au rendez-vous, même si on se doutait de certains belligérants, et encore, seulement sur la fin. J'ai adoré ma lecture et je vais de ce pas me procurer le roman manquant à ma connaissance.
* service de presse *
Les infos sur le site de Mnémos
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- Qu'avez-vous fait ? haleta Aurienne.
- Il est tombé.
- Il est tombé ?
- Oui. Sur la fourchette.
- Il est tombé sur la fourchette ? Vingt fois ?
- Oui. À cause de... la peur.
- De quoi avait-il peur ?
- De la fourchette.*****
Sans compter que la relation Osric/Aurienne est un délice. Aurienne se retrouve forcée d'aider Osric et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle va le lui faire payer. Non pas qu'elle n'essaie pas, non ça c'est contraire à son éthique d'Haelen. Mais disons qu'elle ne va pas lui rendre les choses faciles ...
Fairhrim sortit un grand sac de l'armoire.
- Qu'est-ce que c'est ? demanda Osric.
- Votre sac mortuaire.
Elle avait donc le sens de l'humour. Sec, cependant. Très sec.
*****
Si la relation entre ces deux là constitue la trame et la saveur du roman. Le fond n'en reste pas moins solide et passionnant. Cette maladie qui se répand comme une traînée de poudre parmi les enfants du peuple et surtout les orphelins a bien une raison d'être et Osric et Aurienne vont mener l'enquête ...enfin chacun à leur façon bien sûr. Et le cliffhanger donne envie de se jeter sur la suite. Mais il va falloir être patient, le tome 2 "The Exquisite Torment of Loving Your Enemy" ne sortira en VO qu'en juillet 2026 ...
Côté romance parce que oui vous vous doutez bien que cette relation tumultueuse va petit à petit se transformer, c'est très très lent. Limite à peine un effleurement et on est encore loin du grand amour alors si vous êtes réfractaire à la romance n'ayez aucun soucis.
Oui j'ai pensé à Assistant to the Villain. Non pas que les romans se ressemblent, mais parce que le côté atypique et parfois loufoque du récit m'y a fait fortement penser.
En tout cas, j'ai adoré ma lecture. C'est un mélange savoureux et drôle de tout un tas d'ingrédients. C'est enlevé, sombre et plein de suspense. Les deux héros sont atypiques et attachants. Bref, tout ce que j'aime. Gros coup de cœur.
Les couvertures en VO qui donne une idée bien fausse du roman, j'adore !
Lorsque j'ai lu le titre de ce tome 3 je croyais que ce Jugement concernerait les jumelles Vega qui avaient dû être démasquées et confrontées à cause des vengeances qu'elles avaient fomentées contre les quatre Héritiers. Mais soulagement, c'est juste le nom de l'examen concernant tous les étudiants de première année de la Zodiac Academy. Enfin, soulagement c'est vite dit, parce que ce Jugement en question est vraiment pas cool.
Cependant ce serait bien trop facile si cet opus ne relatait que le passage des épreuves successives des élèves, à savoir une pour chaque élément, puis une ultime cession encore plus tordue que les précédentes... Même si c'est le plus gros du sujet de ce tome, avec bien sûr les Héritiers qui vont tout faire pour que les jumelles échouent !
L'alliance forgée durant la bataille contre les nymphes (je bloque toujours sur ce terme qui pour moi évoque des créatures frêles, fragiles, graciles... et non les horreurs décrites par les soeurs Caroline Peckham et Susanne Valenti) qui a eu lieu dans l'arène de Pitball à la fin du tome précédent vole en éclat. Alors même qu'on voyait enfin un rapprochement sympa entre les jumelles, les quatre héritiers et Lance Orion ! La guerre ouverte reprend donc.
Enfin presque, parce que cette guerre ne convient pas à tous... Notamment à Caleb qui se sent de plus en plus accro à Tory, à Seth qui a inclus Darcy dans sa meute, et même Darius qui réalise qu'il est fort jaloux de Caleb. Bref, ça se corse, d'autant que l'alchimie entre Orion et Darcy grimpe d'un cran, un gros cran même 😁. Dois-je préciser que parfois c'est très hot ? Non, vous vous en doutiez hein !
En arrière plan on assiste ou devine les manigances du plus pourri de tous dans cet univers, à savoir Lionel Acrux. Se servir de ses fils, Darius et Xavier, comme des pions sacrifiables ne lui pose aucun état d'âme et c'est bien ce qu'il s'apprête à faire pour se débarrasser des jumelles Vega qui menacent son pouvoir. Darius et Lance puisqu'ils sont liés de la plus étrange des manières, Xavier, Tory et Darcy ont du souci à se faire...
Cela fait un moment que j'ai fini cet opus, que je piaffe pour attaquer la suite. Celle-ci devait attendre que cette chronique soit écrite. C'est chose faite (rapidement soit) (mais la vraie chronique c'est celle de Phooka)(moi je passe en deuze 😁)... mais horreur, malheur, ma PAL de SP ne cesse de monter 😱. Plus tard donc 😢
* lecture personnelle *
710 pages contre 470 pour le tome 1.
Je sais que c'est une drôle de façon de commencer une chronique, mais simplement par ces chiffres je voulais montrer que le récit se densifie. Surtout si on considère que ce tome 3 se passe sur une semaine. Mais quelle semaine !
Revenons au début. Les nymphes ont attaqué le campus juste après le match pendant lequel les héritiers se sont ridiculisés grâce à l'intervention des jumelles. Mais peu importe tout est oublié car les combats ont été féroces et Tory et Darcy y ont joué un rôle clé, au même titre que les héritiers eux-mêmes et Lance Orion. Mais voilà, le combat terminé, les alliances se sont immédiatement envolées et la guerre entre les héritiers et les futures reines reprend de plus belle. La menace des nymphes pèse toujours autant sur la tranquillité du royaume, mais une nouvelle menace sans doute encore plus sournoise se présente sous les traits de Lionel Acrux, le père de Darius. Ce dragon hyper puissant et extrêmement dangereux veut éliminer les deux sœurs ou les utiliser à son profit.
Je ne vais pas raconter les intrigues parce qu'il y a tellement de fils en parallèle que ma chronique ferait 10 pages. De nouveaux personnages montrent leurs dents. Géraldine, la chef de la F.E.S.S.E, garde les sœurs comme un vrai Cerbère (qu'elle est). Son impact sur la sécurité des filles est impressionnant et elle n'hésite pas à s'opposer aux héritiers, surtout vis à vis de Max qui ne semble pas complètement indifférent. Et puis il y a Lionel Acrux. Ce type est une vraie pourriture, un danger public. Il est prêt à tout pour régner, y compris maltraiter ses propres enfants. On plaint souvent Darius mais la minute suivante il se comporte comme un vrai connard vis à vis des jumelles et on ne le prend plus en pitié. Et pourtant ...
Et nos héritiers que deviennent-ils ? Caleb est en train de s'attacher de plus en plus à Tory sous l'œil furieux de Darius. Mais Caleb a deux facettes. Il est parfois l'amoureux et l'amant fougueux de Tory pour ensuite devenir son pire ennemi, surtout quand il va découvrir comment les jumelles se sont vengées des quatre garçons dans le tome précédent. Darius lui, ronge son frein en silence. Seth est irrémédiablement attiré par Darcy mais vu ce qu'il lui a fait, il n'est pas près de mettre la main sur elle. De toute façon Darcy est attirée par Lance, l'amour interdit par excellence. Bon ça c'est la partie romance (enfin romance c'est beaucoup dire), mais la partie intrigue politique n'est pas plus simple. Et puis surtout il y a le jugement. Un jugement qui permettra de déterminer qui a vraiment les capacités pour être Faë. Des épreuves de magie de l'air, du feu, de la terre et de l'eau. Des épreuves auxquelles Tory et Darcy n'ont pas le droit d'échouer ... Et vous vous doutez bien que les quatre affreux vont tout faire pour. Oui je sais c'est compliqué, mais si vous voulez tout comprendre il n'y a qu'une chose à faire lisez !!
Franchement plus on avance dans la série et plus l'intrigue s'étoffe. Les fils du récits sont de plus en plus nombreux et les personnages gagnent en profondeur. La résilience des deux sœurs qui font face au danger et aux manigances coûte que coûte, est vraiment remarquable. Je trouve fabuleux que leurs magies s'amplifient lorsqu'elles se tiennent la main. C'est un magnifique symbole de leur symbiose et de leur courage est sans faille dès qu'elles sont ensemble. Et petit à petit, les héritiers vont commencer à comprendre à qui ils ont à faire et que se débarrasser des filles ne sera pas aussi simple qu'ils le pensaient au départ.
Quant à la fin, c'est juste énorme encore une fois. Je dois faire une pause pour lire un service de presse au milieu, mais dès que j'ai du temps je me plonge dans le tome 4.
Pour info, 5 tomes sont publiés en français sur les 9 que comporte la série pour le moment. Je pense que je vais être obligée de passer à l'anglais à moins que le rythme de parution ne soit rapide (ce qui est le cas).
Bref ... comme toutes mes autres chroniques de cette série ... FONCEZ !
Encore une fois je passe en deuze et je vais surtout parler de l'aspect audio de ce roman. Je vous enjoins donc à aller lire la superbe chronique de Phooka avant, si vous voulez comprendre de quoi je cause !
Cet audio m'a complètement embarquée dans un monde coréen imaginaire, et ça je le sais car l'autrice l'annonce au tout début, avant les TW. Un monde cruel, dur et affreusement misogyne, régenté par un personnage intouchable, et pour cause, Joon est un Roi-Dieu. Immortel donc. Et pourtant, nous allons suivre six personnages principaux qui vont s'allier pour tenter l'impossible : le tuer.
À l'origine de ce plan se trouve Mikail (merci Phooka pour l'orthographe de tous ces noms d'ailleurs), le maître-espion du roi. Il nous annonce qu'il compte mettre sur le trône Euyn, le jeune frère du roi, actuellement en exil. Euyn étant également son amant. J'ai eu un petit souci de compréhension au début car la prononciation de Joon et Euyn est franchement très proche. D'ailleurs si je n'avais pas eu la chronique de Phooka, je les aurai écrit Joon et Yoon...
Pour mettre en place ce plan, il aura besoin d'un assassin capable de tuer sans porter d'armes, et ce sera la belle Sora, formée à l'école du poison d'un duc cruel. Elle sera sous la surveillance de Tiyung, le fils de celui-ci. Mais pour que le Dieu-Roi meure vraiment, il faudra juste avant l'intervention de Sora qu'Aeri entre en jeu pour lui voler sa couronne, car c'est elle qui lui confère l'immortalité. Vous l'avez compris, Aeri est une voleuse hors pair, et elle est accompagné d'un garde du corps qu'elle s'est choisi, Royo.
Voilà, six personnages principaux et seulement quatre narrateurs... chaque narrateur mâle prenant en charge deux personnages. Il y en a un qui a pris Mikail et Euyn, l'autre Royo et Tyung. L'ennui c'est qu'on ne sait pas qui joue qui. Il devrait y avoir une présentation au début ou à la fin du récit comme dans une pièce de théâtre : "Et dans le rôle de Machin... Untel" (applaudissements ou non). Du coup c'est difficile de faire des éloges ou des reproches de façon précise !
Mon seul bémol, vient donc du narrateur s'occupant de Mikail et Euyn. Rien à redire sur la voix de Mikail, en revanche, pour faire Euyn il force un peu sa voix ce qui donne l'impression que le jeune prince est constamment essoufflé. Soit, Euyn est complètement stressé, paranoïaque, mais essoufflé ?!? Et c'est vraiment la seule chose que je pourrai reprocher à cet enregistrement. Toutes les autres voix sont justes parfaites. J'ai adoré la narratrice faisant Aeri, elle joue à merveille la fausse insouciance du personnage, ainsi que celui qui joue Royo. Un délice vraiment. On l'imagine gros nounours dépassé par les événements. En fait, cet audio est vraiment comme une pièce de théâtre, et malgré mes bémols, c'est un immense coup de coeur !
Et c'est vraiment une prouesse, car comme le précise Phooka dans sa chronique, ce récit repose uniquement sur la dynamique de ces six personnages qui vont se côtoyer un bon moment avant de passer à l'étape finale du plan : l'assassinat. La psychologie de chacun est décortiquée avec soin et c'est passionnant de voir évoluer en chacun la confiance, la méfiance, l'amour, l'amitié et la volonté d'aller de l'avant coûte que coûte.
Parce que, vous vous en doutez, chacun à un but perso dans cette affaire, et il est loin du principal, et c'est là tout le sel de ce roman. plus on s'approche de la deadline, plus on se dit qu'ils vont à la catastrophe. Mais rien, absolument rien ne nous prépare à ce final ahurissant ! Et je crois bien que ce Five broken blades est un premier roman... Incroyable ! Immense respect pour cette autrice, Mai Corland, et un grand bravo à Thélème pour cet audio.