mercredi 31 janvier 2024
mardi 30 janvier 2024
LES CHRONIQUES DE KELEANA de Sarah J. Maas
La lame de l'assassineuse
Editions La Martinière J.Parution novembre 2023464 pages19.50 euros
Les informations sur le site de La Martinière J.
☇ L'avis éclair de Phooka sur les chroniques de Keleana ☇
Sarah J. Maas sur Bookenstock
- Keleana 1 ☺
- Keleana 2 ☺
- Keleana 3 ☺
- Keleana 1,2,3 ☺
- Keleana 4- 1ère partie ☺
- Keleana 4- 2nde partie ☺
- Keleana 5 ☺
- Keleana 1-2-3 ☻
- Keleana 6 ☺
- Crescent City 1 ☺
- Crescent City 1 ☻
- Un palais d'épines et de roses ☺
- Un palais de colère et de brume ☺
- Un palais de cendre et de ruines ☺
- Un palais de glace et de lumière ☺
- Un palais de flammes d'argent ☺
- Un palais d'épines et de roses [audio] ☻
lundi 29 janvier 2024
LE CYCLE DES DÉMONS Tome 2 de Peter V. Brett [audio]
2 # LA LANCE DU DÉSERT
L'avis express de Dup sur La lance du désert de Peter V. Brett
L'AVIS DE DUP
nb: tous les noms suivis d'un * sont écrits phonétiquement 😬
Je poursuis ma lancée dans ce fameux Cycle des démons, en audio toujours, mais sans doute avec moins de régularité que précédemment car je peux enfin relire à ma guise ! Nicolas Justamon, le narrateur à grosse voix comme dit L'ours inculte 😂 est toujours parfait pour ce récit plein de guerriers fanatiques qui ne pensent qu'à tuer des démons pour gagner leur place au paradis.
Alors que le premier tome, L'homme-rune, nous contait l'enfance de Arlen, Leesha et Rojer, ce second tome fait la part belle à celle de Ahmann Jardir (merci le résumé car je n'aurai jamais écrit son nom comme il faut !). Et je dois dire chapeau à Peter V. Brett pour avoir réussi à me retourner comme une crêpe vis à vis de ce personnage. Après le sale coup qu'il a fait à Arlen, j'avoue que je ne le portais pas haut dans mon coeur...
Mais voilà, on découvre un Ahmann différent et qui force le respect. Une enfance difficile lui aussi, une volonté de fer et une combativité à toute épreuve. Puis un Ahmann manipulé, mais conscient de l'être, par l'envoûtante Inevera, sa première femme, grande "prophétesse-magicienne" dont le statut krasien donne phonétiquement "Damadjiting", qui lit l'avenir avec ses dés sculptés dans des os de démon. On va suivre l'ascension de Jardir au sein de La lance du désert, nom de la cité principale de Krasia, au sud de l'univers de l'auteur. Je vous épargne les termes des différents grades par lequel il va passer, pour la simple et bonne raison qu'à l'oral, je ne les ai pas imprimés dans ma tête. C'est plein de Charoum* avec des préfixes et des suffixes différents...
Mais Jadir va se retrouver le Chardamaka*, le chef suprême de tout son peuple, se proclamer le Libérateur et fidèle à ce que lui dicte ses croyances, il va partir à l'assaut des terres du nord, pour assouvir et enrôler par la force toutes les personnes pouvant se battre contre les chtoniens, les halagayes* en krasien.
Ce tome 2 nous a permis de nous imprégner de cette culture krasienne, des coutumes de ce peuple de nomades fiers et forts, et de comprendre leur façon de penser. De comprendre le choc des cultures inévitable entre Krasia et Thésia.
À l'issu de ce second tome, le parallèle entre Jardir et Arlen est immanquable pour le lecteur. Leurs destins sont étroitement liés, Jadir ne serait jamais devenu Chardamaka* sans l'intervention d'Arlen, et c'est à cause de la trahison de Jadir qu'est né l'Homme-rune. Ils ont tous les deux le même but... reste que leur façon de l'atteindre est radicalement opposée. Il me tarde vraiment d'attaquer le tome 3, La guerre du jour, pour poursuivre cette saga impressionnante. D'autant que Peter V. Brett introduit dans ce tome 2 la présence d'une nouvelle sorte de chtoniens, des princes chtoniens intelligents... cela risque de changer la donne !!!
dimanche 28 janvier 2024
Semaine 4/2024 sur Bookenstock [bilan]
Les amis ça va barder, je vous annonce que mémé Dup est réparée. Après deux mois à vivre quasi borgne, une opération chirurgicale et des suites post-op pas cool, ça y est, elle est d'attaque depuis ce weekend ! Heureusement que mémé Phooka a gardé le cap et maintenu le navire à flot.
Une semaine sacrément bien remplie que l'on va revoir dans l'ordre chronologique de parution.
- Lundi, une orgie d'audios pour Dup, avec les quatre tomes de La saga d'Auren de Raven Kennedy. Je ne vous mets que la première couv. Coup de cœur pour la série !
- Mardi c'était mon anniversaire, ouiiiii !!!
Elles ne m'ont pasPhooka ne m'a pas oublié ❤
- Mercredi une super annonce : Les éditions Leha lance leur collection de livres de poche : MAJIK
- Jeudi, la chronique du livre que Dup a mis deux mois à lire tant la lecture lui pesait, alors même qu'elle adorait ce qu'elle découvrait : Une lueur sous les cendres de Antoine Rouaud.
- Vendredi, Phooka vous parle d'une romantasy de Jennifer Estep : Capturer la couronne.
- Samedi, alors qu'elle est à peine revenue, Dup nous annonce son futur départ fin février... mais c'est pour la bonne cause, elle sera dans la suite de L'empire du vampire : L'empire des damnés de Jay Kristoff
samedi 27 janvier 2024
La suite de L'EMPIRE DU VAMPIRE arriiiiiiiiiiiive ! [sortie]
Voilà, c'est officiel, et la date, que dis-je, le Saint Graal, annoncé par De Saxus est le 29 février. Cette suite que j'attends avec tant d'impatience depuis décembre 2022 ! J'avais tellement, mais tellement aimé L'EMPIRE DU VAMPIRE !
Ce sera L'EMPIRE DES DAMNÉS, et admirez moi cette beauté ❤❤❤
Sachez que début mars, le monde peut bien s'écrouler ou le GpP battre son plein, il n'y aura plus de Dup pour personne ! J'aurai 992 pages à savourer 😍😍😍
vendredi 26 janvier 2024
CAPTURER LA COURONNE de Jennifer Estep
La reine des Gargouilles #1
Éditions BookmarkCollection Lost KingdomParution 24/01/2024
☇ L'avis éclair de Phooka sur Capturer la couronne de Jennifer Estep ☇
Quelques facilités scénaristiques et un héros masculin un peu "mou".Mais c'est du Estep, l'héroïne est géniale et l'univers aussi.
L'AVIS DE PHOOKA:
Pour le plaisir de retourner dans le monde créé pour Une couronne d'Épines, dont j'avais beaucoup aimé Tuer la reine je me suis plongée dans la lecture de ce Capturer la couronne. Attention alors que la série d'origine louchait vraiment sur de la fantasy, légère certes, mais fantasy quand même, cette fois nous sommes plus dans le registre de la romance fantasy.
Commençons déjà par donner la définition du jeu telle que décrite dans le roman:Capturer la couronne était un jeu populaire chez les enfants, mais aussi les adultes, à travers le continent. Des couronnes en papier étaient disposées sur un cercle de chaises alors qu’on jouait de la musique. Lorsque la musique s’arrêtait, tout le monde s’empressait de s’installer sur une chaise et de mettre une couronne sur sa tête. La personne qui n’avait pas réussi à s’asseoir ou qui avait déchiré sa couronne était éliminée. Une chaise était ensuite retirée du cercle, et le jeu continuait jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une personne, une chaise et une couronne.
En gros c'est une chaise musicale, mais l'enjeu est un peu plus élevé.
Nous faisons donc connaissance avec Gemma Ripley, la princesse d'Andvari. Surnommée Brillantine, elle a la réputation de ne s'intéresser qu'aux bijoux, aux robes et à tous les froufrous. Sauf que lorsque nous la rencontrons, elle travaille dans une mine de pierres de larmes au milieu de tous les mineurs. Elle est là en tant qu'espionne pour essayer de comprendre comment des quantités astronomiques de ces pierres à l'intérêt stratégique peuvent disparaître aussi facilement. Elle soupçonne les Mortiens du royaume voisin ennemi d'être à l'œuvre. Grimley sa gargouille est là aussi pour la protéger, mais personne ne peut soupçonner que la princesse se cache sous cette tenue de mineur. Et c'est d'ailleurs dans cette tenue qu'elle va croiser, puis sauver prince Léonidas Morricone de Morta. Léonidas qu'elle avait déjà croisé quand elle avait fuit le massacre de Sept Flèches (ceux qui ont lu l'autre série reconnaîtrons) et qui l'avait trahie alors qu'ils étaient tous les deux des mômes.
Gemma est une très chouette héroïne, acceptant de passer pour une princesse frivole et sans cervelle, tout en travaillant dur pour son royaume, en espionnant, en prenant des risques et en s'entraînant pour être une combattante hors pair. Tout ça sous le mépris de ses sujets, mais aussi de ses pairs qui ignorent totalement sa vraie nature. Oh ne vous méprenez pas, quand elle en a l'occasion, elle adore parader en jolies tenues et aller au bal et c'est cette dualité qui la rend vraiment intéressante. Parce qu'elle n'est pas monolithique mais aussi parce que parfois son côté "girly" refait surface aux mauvais moments et la met dans des situations difficiles.
J'ai eu par contre beaucoup plus de mal avec le héros masculin, Léonidas. Non pas parce qu'on ne sait pas trop s'il est vraiment un traitre ou pas, non, ça c'est justement ce qui est bien avec ce personnage. C'est plutôt qu'il est parfois présenté comme un prince badass et impitoyable, pour ensuite devenir "mou du genou", lâche, faible et peu assuré. Impossible de le cerner vraiment et c'est dérangeant. Même si on comprend les raisons de son comportement, le gap entre ses deux personnalités est trop grand. Clairement c'est Gemma qui mène la danse (et c'est bien que le héros soit en fait une héroïne), mais leur relation n'en est que plus étrange ...
Ça, ajouté à des facilités scénaristiques de type grosses ficelles qu'on voit arriver de très loin (le dernier combat de Gemma face à Milo, le frère ainé de Léonidas est tellement téléphoné que j'en étais gênée), voire quelques incohérences m'empêche de faire un coup de coeur de ce roman alors que je l'ai dévoré vraiment rapidement. J'aime toujours autant l'écriture de Jennifer Estep, mais là elle pousse un peu trop de bouchon Marcel ! On ne sent pas la cohérence et la profondeur de la série initiale.
La reine des Gargouilles est une série en trois tomes. Les trois sont déjà sortis en anglais: le second Tear Down the Throne (Détruire le trône) ne devrait pas tarder. Le tome 3 s'intitule: Conquer the Kingdom.
Serai-je au rendez-vous pour la suite ? Très probablement parce que je suis vraiment curieuse de savoir ce que l'avenir réserve à Gemma et Léo. J'espère juste que la trame du récit va s'étoffer.
Capturer la couronne était un jeu populaire chez les enfants, mais aussi les adultes, à travers le continent. Des couronnes en papier étaient disposées sur un cercle de chaises alors qu’on jouait de la musique. Lorsque la musique s’arrêtait, tout le monde s’empressait de s’installer sur une chaise et de mettre une couronne sur sa tête. La personne qui n’avait pas réussi à s’asseoir ou qui avait déchiré sa couronne était éliminée. Une chaise était ensuite retirée du cercle, et le jeu continuait jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une personne, une chaise et une couronne.
En gros c'est une chaise musicale, mais l'enjeu est un peu plus élevé.
jeudi 25 janvier 2024
UNE LUEUR SOUS LES CENDRES de Antoine Rouaud
LE LIVRE ET L'ÉPÉE Tome 2
L'avis express de Dup sur Une lueur sous les cendres de Antoine Rouaud
L'AVIS DE DUP
Rho comme j'en ai voulu à cet auteur de nous avoir fait patienter presque dix ans pour sortir sa suite ! J'avais tellement aimé son tome 1, La voie de la colère, que tous les ans je m’enquerrai auprès de Bragelonne de la suite, jusqu'à abandonner.
Les années, le nombre de livres lus depuis, la mémoire de poisson rouge aussi, ont fait que j'ai dû relire ce premier tome, parce que "que pouic", pas un seul résumé au démarrage de cette suite ! Mais la magie a opéré à nouveau et je ne lui en voulais plus du tout, j'ai été à nouveau absorbée par la plume d'Antoine Rouaud, par Dun-Cadal dit Échassier et Grenouille ❤❤❤, et surtout par la puissance de cette intrigue !
On replonge dans le même type d'ambiance, froide et sombre. L'Empire est mort, vive la République, et pourtant... pour le commun des mortels rien ne change. La vie, que dis-je, la survie est compliquée. Encore plus à Éole, cette cité perchée sur sa falaise qui surplombe la mer, loin au nord. Éole, ou la Cal Do Piar, qui va être le théâtre de ce second opus. Elle est belle, elle est fière, elle est super bien dépeinte par les mots d'Antoine Rouaud.
Éole qui a toujours été inexpugnable, est assiégée depuis des mois par une horde de "monstres" sortis d'on ne sait où, accompagnés de mâtins qui hurlent à la mort dans la plaine en contrebas. Et depuis des mois, les habitants de la Cal Do Piar attendent l'aide de la République. Et ils ne vont récupérer que Laerte d'Uster qui va rentrer en douce, profitant d'une attaque des envahisseurs pour se glisser sur les remparts.
Mais avant ça, sur ces remparts justement, nous allons faire la connaissance de Naeme, une jeune fille d'à peine 16 ans emplie de rêves chevaleresques. Non pas pour le lustre et la gloire, non, mais uniquement pour défendre ceux qu'elle aime. Ses parents et son si spécial petit frère Dey. Elle va devoir ruser pour ça, car bien sûr ce n'est pas un rôle convenable pour une fille, même issue des quartiers pauvres.
Naeme va finalement trouver un maître en matière d'apprentissage auprès de Rogant, le Naaga ami de Laerte, qui était sur place bien avant ce dernier. Rogant avait été envoyé par De Page qui se doutait bien de la destination de Laerte après les assassinats de Massalia.
Laerte a bien changé depuis l'époque Grenouille. Le doute et la dualité ont envahi son esprit en permanence: il oscille sans arrêt entre son besoin de vengeance pour l'extermination de sa famille et les dernières paroles de Dun-Cadal, son maître à penser, son père de substitution : chevalier ou assassin ? Il se renferme, il est désespérément seul. Il a le masque, l'épée, il lui manque le livre. Il use et abuse du Souffle...
Et juste pour vous appâter vers cette lecture, mais sans spoiler, sachez que l'on y retrouvera également Aladzio, l'ingénieur fou de De Page et Viola, notre historienne. Elle aussi a bien changé...
Avec une intrigue complexe mais ô combien passionnante, Antoine Rouaud nous entraîne dans ce siège interminable, dans les ruelles poisseuses et sales de la Cal Do Piar, où les complots politiciens foisonnent autant qu'au sein de la nouvelle République. Mais cette fois ci nous faisons le chemin aux côtés de femmes fortes, deux véritables héroïnes, ce sont elles ces Lueurs sous la cendre. J'ai adoré ma lecture, c'est un coup de cœur bien évidemment !
mercredi 24 janvier 2024
LEHA se décline en poche: voici la collection MAJIK
- - Three Dark Crowns, tome 1 - Kendare Blake
- - Malice, Le Livre des Terres Bannies, tome 1 - John Gwynne
- - La Promesse du Sang, La Trilogie des Poudremages, tome 1 - Brian McClellan
- - Inkarmations, Pierre Bordage
- - Cathédrale, Hermine Lefebvre
mardi 23 janvier 2024
14 ans ...
🎉Joyeux anniversaire à Bookenstock🎉
lundi 22 janvier 2024
LA SAGA D'AUREN T1, T2, T3, T4 de Raven Kennedy [audio]
La saga d'Auren de
RAVEN KENNEDY
GILD
Voilà, voilà... c'est ce qu'on appelle une orgie d'audios ! Ces quatre tomes je les ai engloutis avec voracité, même mes petits chapitres lus de temps à autre ont été éclipsés par cette saga qui a eu un effet hypnotique, j'irai même jusqu'à dire, addictif sur moi. Un peu comme lorsque j'avais enchaîné les 4 tomes de Twilight où plus rien d'autre n'existait que le sort de Bella et Edward, mais à la différence énorme que je n'ai pas fini mon écoute en me disant "mais quelle bouse énorme". Non, là c'est tout l'inverse, c'est un énorme, UN GIGANTESQUE COUP DE COEUR.
Bon, ok, il faut s'accrocher et passer les premiers chapitres en restant zen... parce que débarquer en pleine orgie et réaliser que la spectatrice cruchone dans sa cage dorée n'est autre qu'Auren, et donc l'héroïne de la saga, c'est dur pour les nerfs. Mais Phooka en avait déjà parlé dans sa chronique du tome 1, et moi je fais confiance à mon amie !
Et mon dieu comme j'ai bien fait ! Parce que la suite est juste ÉNORME. Peut-être pas le tome 1, qui est plutôt lent et dans lequel Auren reste une héroïne que l'on a juste envie de secouer, de lui ouvrir les yeux. Lui hurler que ce Midas qu'elle aime est une pourriture. Rhaaaaa! Mais avant la fin de ce Gild, tout s'emballe pour ne plus jamais s'arrêter. J'ai tout aimé dans cette suite (et même le premier, avoue on le !).
L'univers construit par l'autrice, avec ses 6 royaumes, bien distincts. Chacun ayant une caractéristique ayant trait aux conditions climatiques qui y règnent, ou induites par les pouvoirs de leur dirigeant. Les descriptions sont extrêmement visuelles et je vous conseille de bien vous emmitoufler avant de démarrer la saga. Son histoire aussi, avec son différent par le passé avec le royaume des Faës, le 7ème royaume aujourd'hui disparu par delà les brumes.
Les pouvoirs magiques que l'on rencontre sont juste ouffissimes, mais en fait, je ne peux, ne veux pas en parler car ils font partie intégrante des découvertes et bonnes surprises de cette série. Raven Kennedy développe son imagination sans borne et ses personnages ainsi dotés sont vraiment ahurissants. Auren, Rip, Slade, Lu, la reine Kaila...
Quant aux personnages, ma foi, même Auren qui revient de loin, a su conquérir mon coeur. Surtout Auren d'ailleurs, qui saura se relever après une décennie à se faire manipuler par un maître en la matière. On dit qu'il n'a pas de pouvoir le roi Midas, mais quelque part s'en est un de manipuler ainsi tous les gens qui l'entoure. On assiste à une sacrée évolution des personnages principaux, on ne peut que faire corps avec le récit et vibrer avec eux. La psychologie de tous les personnages, même les plus secondaires, est abordé avec minutie. Non, franchement, cette saga est impressionnante. FONCEZ !!!
Impressionnants sont également les talents des narrateurs, mais surtout celui de Amandine Longeac qui porte à elle seule toute la saga et surtout le 1er tome. Qui arrive à nous faire aimer, comprendre Auren. Qui a une tessiture de voix envoûtante, et qui incarne à la perfection chaque personnage. À tel point que je préférais au début Slade lu par elle que par Raphaël Casar ! Ok, cela n'a pas duré, car il est vraiment très bon lui aussi. Du genre à coller des frissons avec sa voix grave...bien adaptée aux scènes les plus hot 😁
Il ne me reste plus qu'à attendre la suite, et vu le cliffhanger de folie sur lequel se termine Glow, je peux vous dire que j'ai vraiment hâte. Et je croise les doigts pour que ce cinquième tome ne soit pas le dernier !!!
Déjà sur Bookenstock, les chroniques de Phooka :