samedi 25 décembre 2021
jeudi 23 décembre 2021
Passez de bonnes fêtes !!
Les mémés me donnent congés jusqu'en janvier. Soit disant elles ont besoin de faire une pause. Donc hop, en mode repos, fête et tralala.
Profitez en bien si vous le pouvez.
Courage à ceux qui bossent.
Et à tous, sortez couverts ... gaffe à la COVID , on veut tous vous revoir en janvier !
On se retrouve le 03 janvier !
mardi 21 décembre 2021
ATLANTEA de Julianna Hartcourt
#1La prophétie de étoiles
☇ L'avis éclair de Phooka sur le tome 1 de La Prophétie des étoiles ☇
lundi 20 décembre 2021
LE PORTEUR DE LUMIÈRE Tome 5 - 2ème partie de Brent Weeks
LE BLANC INCANDESCENT
L'avis express de Dup sur Le Blanc incandescent 2 de Brent Weeks
L'AVIS DE DUP
Quelle bataille, mais quelle bataille ! Plus de 600 pages sur les 800 concernent la bataille du Roi Blanc contre la Chromerie, donc autour des îles de Petite Jaspe et Grande Jaspe !!! Le plan détaillé de celles-ci au début du roman est plus que bienvenu !
Quant aux pages restantes, une grosse centaine se situe avant la bataille, la soixantaine restante Brent Weeks s'amuse avec son lecteur en nous offrant un épilogue, puis deux, puis trois ! Et si vous êtes comme moi et que vous lisez également les remerciements, il y réserve une surprise. J'aime beaucoup l'humour de cet auteur ! D'ailleurs il donne le la avec sa dédicace en début d'ouvrage :
Kip, et ses Invincibles sont donc de retour à la Chromerie, il vient d'informer Karris, le Blanc et Andross, le Promachos et accessoirement son grand-père, du plan d'attaque de Koios, le Roi Blanc. Il va arriver avec une flotte nombreuse et surtout les banes de chaque couleurs. Or ces banes ont la propriété de neutraliser les créateurs, principale défense de la Chromerie.
Kip a un plan ceci-dit, une solution pour détruire les banes, mais il faut qu'il puisse accéder aux Miroirs, donc être élu Prisme à la place de Zymum, son infect demi-frère. Pour ce faire il a donc besoin du seing blanc de Karris et Andross. Seulement Andross a autre chose en tête. Depuis plus de quarante ans il est obsédé par une prophétie qui l'aura guidé toute sa vie : Le Porteur de lumière sauvera les sept sapatries, mais l'interprétation exacte lui échappe encore. Serait-il (et il l'espère) ce Porteur de lumière ? Ou bien est-ce Kip ? Gavin ?
Gavin quant à lui poursuit son bras de fer avec le dieu Orholam, loin de tout ça et pourtant ils en sont le cœur...
Pendant qu'Andross cherche sa solution en jouant aux Neuf Rois avec Kip, Teia traque inlassablement les membres de L'Œil Brisé. Tous ses amis sont de retour et elle se sent encore plus seule. Elle réussira finalement à infiltrer la toute dernière réunion de ces traitres qui s'apprêtent à pactiser avec Koios et paralyser la Chromerie de l'intérieur.
Et puis le jour de la Fête de la lumière est là, le soleil se lève et dévoile la flotte ennemie en approche... 500 pages d'une bataille phénoménale, époustouflante. Brent Weeks intensifie la valse des narrateurs en rajoutant dans la ronde des personnages jusqu'alors secondaires. Déjà qu'il y avait beaucoup de personnages principaux... Il raccourcit les chapitres permettant d'avoir une vue d'ensemble presque synchronisée des actions. Du très grand art !
La pression et le suspense grimpent sans cesse, la lecture devient hypnotisante, tellement que s'en est presque dérangeant ! Lorsque je devais poser mon livre par la force des choses, j'éprouvais un sentiment de malaise d'abord, puis très vite de soulagement ! C'est la première fois que je ressens cela. Mais Brent Weeks a réussi à glisser un aimant dans ses phrases, ses mots, il fallait que j'y revienne le plus vite possible. Ce sixième tome m'a tenue en haleine du début à la fin. 648 pages d'action et de suspense, je vous promets, c'est étourdissant !
C'est un auteur que je continuerai à suivre les yeux fermés. J'adore sa plume, son humour qui transparaît dans les dialogues, son imagination fertile. Qu'il continue dans cet univers ou en invente un autre, je prendrai le train en marche, Et s'il tarde trop, je sais que j'ai encore à explorer son autre série, L'ange de la nuit , une vraie trilogie ! Parce que oui, Le Porteur de lumière devait être une trilogie hein ! :))
Brent Weeks sur Bookenstock :
- L'Ange de la Nuit-Tome 1: La voie des ombres ☺
- L'Ange de la Nuit-Tome 2: Le choix des ombres ☺
- Le porteur de lumière Tome 1 : Le prisme noir ☻
- Le porteur de lumière Tome 2 : Le couteau aveuglant ☻
- Le porteur de lumière Tome 3 : L'oeil brisé ☻
- Le porteur de lumière Tome 4 : Le miroir aveuglant ☻
- Le porteur de lumière Tome 5/1 : Le Blanc incandescent ☻
dimanche 19 décembre 2021
Semaine 50/2021 sur Bookenstock [bilan]
Hello tout le monde, me revoici pour le bilan hebdomadaire ! Semaine classique mais cependant tournée vers Noël avec un billet alléchant fait par Phooka pour vous donner une idée sympa de cadeau :
Le dernier des dragons, un livre jeu de Paul Beorn
Sinon, côté chroniques, c'était la semaine thriller pour Dup :
Le coup de coeur annuel avec le dernier Karine Giebel : Glen Affric
Cependant un avis moins enthousiaste sur le dernier Cédric Sire : La Saignée
Quant à Phooka, son enthousiasme ne faiblit pas pour l'Urban Fantasy avec un gros coup de coeur pour le tome 3 de Tori Dawson. En même temps, on la comprend ! Deux sorcières et un whiskey de Annette Marie
Et une petite gâterie en passant, une romance pêchée chez Alter-Real, Mon faux fiancé et moi, de Eva Baldaras.
That's all falks !
À la semaine prochaine... ou pas 😁
vendredi 17 décembre 2021
MON FAUX FIANCÉ ET MOI de Eva Baldaras
☇ L'avis éclair de Phooka sur Mon faux fiancé et moi ☇
jeudi 16 décembre 2021
LA SAIGNÉE de Cédric Sire
L'avis express de Dup sur La Saignée
L'AVIS DE DUP
Sire Cédric est définitivement mort pour laisser la place à Cédric Sire. Exit la part de fantastique dans ses thrillers, hélas, trois fois hélas. Il était passé maître pourtant pour faire glisser son récit dans le surnaturel et j'adorais vraiment ce pas de côté qu'il faisait.
Avec La saignée, l'auteur nous plonge dans les méandres du Dark web, et le maître mot est bien ce DARK ! Vieux fantasme des pervers de tous bords, assister en direct, mieux intervenir, commander, une séance de torture suivie d'une mise à mort. Ce qu'on pensait n'être qu'un mythe, certains ont franchi le pas, et c'est La Saignée.
La saignée est un thriller ultra efficace de 575 pages, qui ne ménage ni ses personnages, ni son lecteur. Évidemment, je me dois d'annoncer de suite que ce n'est que pour lecteurs avertis, car on plonge bien profond dans le gore. L'écriture de Cédric Sire est tellement visuelle que la retranscription qu'il fait de ces émissions en live nous apparaissent vraiment sous les yeux et nécessitent un estomac bien accroché.
On va suivre deux personnages principalement. Estel Rochand, une ex-flic, écartée de sa fonction suite à une bavure qui depuis travaille comme garde du corps. Et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle est efficace. C'est sa came cogner et savoir encaisser les coups. Une écorchée vive sacrément compliquée dans sa tête. Puis, Quentin Falconnier, flic spécialisé dans la cybercriminalité. C'est lui qui a débusqué le lièvre. Le vrai geek borderline, pour qui la fin justifie les moyens.
En fait tous les personnages de ce roman, principaux comme secondaires sont extrêmement fouillés, mais âpres, tranchés, toujours limites. Pas de ceux pour lesquels on pourrait développer de l'empathie quoi, à moins d'avoir un sacré problème. Il met en scène un écrivain également, auteur de best-sellers, et le tableau ne vend pas du rêve... même si les détails d'une campagne de promotion lors d'une sortie sont plus vrais que nature.
J'ai admiré l'efficacité de l'intrigue et la facilité avec laquelle Cédric Sire m'a embarquée dans cette histoire. Et pourtant je suis restée détachée, en retrait par rapport à cette immatérialité, cette nébulosité que représente pour moi ce Dark web, ces url et ces adresses IP mouvantes, ces bitcoins qui s'échangent d'un clic en allant piocher là où on ne s'y attend jamais. C'est presque de la SF pour moi, dinosaure du web surtout pas dark !
Je saurai à l'avenir éviter ce genre de roman, mais si pour vous c'est une évidence et, si et seulement si vous aimez le gore saignant, alors ce roman est fait pour vous. D'une efficacité parfaite.
mercredi 15 décembre 2021
LE DERNIER DRAGON de Paul Beorn [Idée cadeau de Noël]
mardi 14 décembre 2021
TORI DAWSON tome 3 d'Annette Marie
# 3Deux sorcières et un whiskey
☇ L'avis éclair de Phooka sur le tome 3 de Tori Dawson ☇
lundi 13 décembre 2021
GLEN AFFRIC de Karine Giébel
L'avis express de Dup sur Glen Affric de Karine Giébel
L'AVIS DE DUP
Tellement absorbée par mes lectures SFFF, je n'ai pas vu passer cette sortie début novembre. Glen Affric n'a sauté dans mon caddie qu'il y a tout juste une semaine. Et comme la vie est bien faite, ma PAL de SP était alors bien basse... 😁 Il valait mieux pour ma conscience parce que si vous voyiez la taille du pavé !
Glen Affric est un pavé énorme, d'une telle épaisseur que je suis sûre qu'il va en rebuter plus d'un. Et pourtant, s'ils savaient ceux qui fuient comme c'est un crève-cœur d'arriver au bout de ces 768 pages et de ne plus en avoir à tourner !!!
À chaque nouveau roman je me dis qu'il va arriver un jour où je vais me lasser de cette plume reconnaissable entre toutes. Mais non, ce jour n'est pas encore arrivé, je suis à nouveau tombée dans le piège de Karine Giébel. Elle a vraiment le chic pour me broyer le cœur à chaque fois !
Comment ne pas tomber sous le charme de ce Léonard. Ce n'est pas donné à tout le monde de porter un tel prénom. Et lui, il s'appelle ainsi parce que Mona l'a trouvé couvert de coups et de boue, trainant dans un fossé, âgé de 5 ans, un 6 novembre, jour de la Saint Léonard. Et Mona, malgré son âge avancé, l'a adopté ce petiot.
Aujourd'hui Léo a quinze ans, c'est une force de la nature et pourtant c'est le souffre douleur du collège. Léo le triso, Léonard le bâtard. Parce que Léo a dû prendre tellement de coups sur la tête enfant que tout apprentissage demeure impossible. Il n'arrive pas à déchiffrer les lettres, alors les chiffres n'en parlons même pas. Il est la proie idéale pour le racket, et comme il ne veut pas inquiéter Mona, il se tait. Il rêve à ce grand frère, qui est loin là-bas, en Écosse, à Glen Affric. Un grand frère qui saurait le protéger s'il était là... Il rêve de partir là-bas.
Puis il y a Jorge, qui a pris 22 ans de prison pour un double crime qu'il n'a pas commis. Mais voilà, pas d'alibi, un mobile servi sur un plateau et tout un tas de preuves accablantes. Il va sortir au bout de 16 ans, mais 16 ans de milieu carcéral ça laisse des traces... Karine le connait ce milieu, sur le bout des doigts. Elle nous y a emmené plus d'une fois et notamment dans Meurtres pour rédemption qui reste mon préféré.
Et enfin il y a Angélique, séquestrée depuis des années par son oncle, après la mort accidentelle de ses parents. Angélique qui est devenue mutique. Il en a fait sa bonne, son esclave, sa maîtresse dès le début alors qu'elle n'était qu'une ado...
Mona, Léo, Jorge et Angélique... Quatre personnages incroyablement vrais, humains, touchants. L'intrigue de Karine Giébel est époustouflante encore une fois. Les coups de théâtre au rendez-vous lorsque les liens se révèlent. C'est un roman sur l'Injustice, oui, avec un I majuscule. Parce qu'elle va s'acharner, elle ne va pas lâcher ses proies. On y croit pourtant, au salut, à la rédemption, jusqu'au bout.
À chaque fin d'épreuve on se dit que c'est bon là, ils vont pouvoir souffler, vivre. Mais le tas de pages qui reste, on le sait bien, va à l'encontre. Et c'est infernal jusqu'au bout. C'est sombre à souhait et pourtant, ce petit coin d'Écosse pas loin du Loch Ness, Glen Affric, qui sera le fil rouge de ce roman apporte la lumière nécessaire, la part de rêve.
Glen Affric est un coup de cœur malgré sa "sombritude", parce que derrière le harcèlement, la violence, l'injustice, la séquestration, on y trouve une grosse dose d'humanité, de l'amitié et un incroyable amour maternel et fraternel. Un excellent Giébel encore une fois !
Karine Giebel sur Bookenstock :
- Jusqu'à ce que la mort nous unisse ☻
- Les morsures de l'ombre ☻
- Juste une ombre ☻
- J'aime votre peur ☻
- Purgatoire des innocents ☻
- Meurtres pour rédemption ☺
- Meurtres pour rédemption ☻
- J'aime votre peur ☺
- Post Mortem ☻
- Satan était un ange ☻
- De force ☻
- D'ombre et de silence ☻
- Toutes blessent, la dernière tue ☻ (Book d'or 2019)
- Ce que tu as fait de moi ☻
dimanche 12 décembre 2021
Semaine 49/2021 sur Bookenstock [Bilan]
Bon voilà c'est officiel. Mes mémés sont gâteuses. Mais gâteuses de chez gâteuses hein. pas une pour rattraper l'autre !!!
Depuis l'été, plus de coups de cœur du mois. Rien, que dalle, nada ! Alors y'en a une qui dit qu'elle était en vacances, l'autre soit disant qui bosse et puis y'a l'excuse Imaginales etc ... J'en passe et des meilleures !! Moi je dis qu'elles vieillissent mal et puis c'est tout !
Du coup cette semaine elles ont sorti les coups de cœur de septembre, octobre et novembre ! Rien que ça !!
Bref ...
Bon sinon elles ont bien bossé avec plein de chroniques:
- De l'urban avec le tome 1 de Mathilda Shade que Phooka a dévoré (ça explique après qu'elle oublie les coups de coeur ...)
- Toujours de l'urban avec -plus étonnant- du Pierre Grimbert que Dup a elle aussi adoré (ceci explique cela ?)
- Et vous savez quoi ? Encore de l'urban avec le nouveau Ilona Andrews que Phooka a encore une fois dévoré (ça confirme mes soupçons !)
- Et on finit par un OVNI, l'étrange histoire de Benjamin Button qui a laissé un drôle de goût à Dup !
Bon on va dire qu'elles ont bossé dur cette semaine et qu'elles essaient de se faire pardonner alors ... Mais bon j'attends un peu plus de sérieux de leur part.
Allez, prenez soin de vous, n'oubliez pas vos masques !
À la semaine prochaine
Bookenstock
samedi 11 décembre 2021
Nos coups de coeur de novembre 2021
Et voilà, tout est revenu à la normale !
Et donc sélectionnés pour le GpP de 2022
COUPS DE CŒUR SFFF
vendredi 10 décembre 2021
MATHILDA SHADE tome 1 de Liz Myers